Pour ceux qui voient la carte du monde en noir et blanc.
Vidéo : Un monde en noir et blanc.
Table des matières.
- La carte du monde en noir et blanc : une question de collection et de décoration.
- La dualité de la perception.
- La popularité du pessimisme.
- Les périls d’une vision monochrome.
- Changer la couleur des cartes pour s’offrir un voyage en liberté.
- Dépasser la vision dichotomique d’une carte en noir et blanc.
- Pour ne plus voir la carte du monde en noir et blanc : redonnons-lui des couleurs !
- La vision du miracle de la vie : l’art de vivre en aimant.
- Illuminez ce monde pour que seule son ombre persiste dans le noir!
- Techniques pour cultiver une vision colorée.
- Epilogue : choisir la couleur dans un monde de contrastes.
La carte du monde en noir et blanc : une question de collection et de décoration.
Une collection d’images en noir et blanc qui succède à une autre collection d’images noires et blanches. C’est ainsi que certain(e)s entrevoient le jour chaque matin : une ribambelle d’images à la sombre décoration. L’illustration peut sembler simpliste. Pourtant, cette vision réductrice, pour celles et ceux qui voient la carte du monde en noir et blanc, est loin d’être anodine.
En effet, cette illustration symbolise la façon que nous avons parfois de percevoir notre réalité : limitée et dépourvue de toute décoration. La vie, selon cette optique binaire, semble se résumer en une série de photos monochromes, de pâles icônes, de cliparts ennuyeux sur fond d’écran grisâtre.
Entrez dans le Cercle et voyez le monde autrement…
Un monde de dessins au fusain sur papier blanc sans la vibrance des couleurs chatoyantes.
Nous avons tendance à vouloir résumer toute la complexité du monde en quelques catégories simplifiées. Nous opposons tout : noir contre blanc, pays contre pays, continent contre continent, voyage populaire à prix réduit contre voyage de classe au prix fort, photos de vacances contre photos d’art.
Peinture au mur contre tableau au musée, design contre beauté naturel, street art contre dessins authentique, collection d’art contre autre collection d’art, etc. C’est le bien contre le mal, nous contre eux, une religion contre une autre, le bois contre le métal, la “France d’en bas” contre la “France d’en haut“, le pot de terre contre celui en fer… Cela n’en finit jamais!
En fait, cette réduction, c’est notre tableau de défense. C’est une façon de gérer le monde en le rendant moins intimidant mais en occultant toute sa collection de teintes et de reliefs.
Le voyage sur fond de révélation.
Imaginons le globe sous la forme d’une mappemonde détaillée. Chaque pays, chaque continent y est délimité par des frontières. Cependant, dans la réalité, ces démarcations ne sont pas aussi nettes et aussi faciles à tracer. Chaque pays, chaque peuple est une terre d’histoire et de culture.
Le voyage est une occasion de révéler ces variétés. Le voyage permet de découvrir les couleurs cachées derrière les aprioris. Il nous prouve que notre vision du monde ne saurait se réduire en une simple collection de photos, d’images ou de dessins incolores. La carte du monde est une toile vivante, emplie d’une variété de coloris.
La réduction de la vie à une série d’images en noir et blanc est une tentation constante. Il est confortable de penser que tout est simple, que chaque problème a sa solution claire, chaque question sa réponse définie. Mais ce n’est pas le cas.
Le saviez-vous?
Il existe des personnes qui ignorent toute la collection des couleurs que la vie nous offre en décoration. Elles sont atteintes d’achromatopsie. C’est une maladie génétique dont le prix est lourd à payer puisque leur vue se limite aux images en noir et blanc.
D’ailleurs l’île de Pingelap en Micronésie (pays d’Océanie) est appelée “l’île du noir et blanc”. 40% de sa population y est porteur du gène et 30% porteur sain. Il n’existe malheureusement à ce jour aucune thérapeutique mondiale pour en venir à bout.
La dualité de la perception.
Le monde sur fond de bipartition.
Quel impact cela a-t-il sur notre lecture des événements et notre comportement avec autrui? L’illustration du monde en noir et blanc n’est pas juste affaire de réduction visuelle. Il s’agit de notre compréhension de la morale, des choix et des relations humaines.
Les médias présentent, plus que souvent en réduction, des informations, sous forme de conflits ou de choix binaires, sans nuance. Certes, cette “livraison” de l’actualité permet de digérer rapidement l’info. D’autant plus que sur la surface du globe, le flux d’annonces et de communiqués est incessant.
Mais une telle réduction schématise trop vite, trop facilement, la complexité des situations humaines à de simples oppositions. Il y a un prix à payer pour cette livraison en boucle d’une actualité au rabais…
Ce mode de réduction a des racines profondes dans notre conditionnement psychologique. Dès notre plus jeune âge, nous apprenons à classer et à juger selon des catégories claires et distinctes. Le bien et le mal, le juste et l’injuste, le fond de la forme, l’ami et l’ennemi, le noir et le blanc… Il offre des réponses rapides à des situations qui, pour autant, demanderaient une réflexion détaillée.
Si ce cadre nous aide à survivre dans un environnement complexe, le prix à payer est de s’enfermer petit à petit dans notre chambre mentale.
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Une illustration plus nuancée du réel.
Reconnaître et comprendre cette tendance à voir la carte du monde en noir et blanc est le premier pas vers une approche plus détaillée, équilibrée et colorée de la vie. Nous pouvons élargir notre vision pour y inclure non seulement des images claires et nettes mais aussi les nuances et les subtilités qui composent le catalogue du réel.
En faisant cela, nous ne nous contentons pas de remplir des cartes, nous dessinons notre propre mappemonde. Une mappemonde qui célèbre la diversité et la multiplicité de la terre sur laquelle nous vivons. Cela exige de nous une capacité à rejeter les simplifications et les illustrations trop faciles.
Nous devons, à contrario, initier une chaîne mondiale de perspectives qui transcende le noir et le blanc pour explorer le riche spectre de la condition humaine sur cette terre.
La popularité du pessimisme.
Se préparer au changement pour conjurer le pessimisme.
Beaucoup de gens ont une illustration pessimiste du monde.
Le vecteur principal de cette illustration est sans nul doute les médias. Les nouvelles sont présentées de manière essentiellement focalisées sur les crises, les conflits et les catastrophes. Cela peut induire la perception que notre planète est un lieu intrinsèquement dangereux et sombre.
Cette représentation médiatique, bien qu’efficace pour capturer l’attention, forge une image du globe marquée par le noir pour l’adversité et le blanc pour de rares bonnes nouvelles. Elle occulte la diversité des expériences humaines ainsi que les nuances de la réalité.
Le second vecteur d’importance est l’éducation. Dès la scolarité, l’accent est mis sur les conflits historiques, les problèmes économiques ou les menaces environnementales. Tout cela sans intégrer de perspective, de vision équilibrée, de démonstration des progrès et des solutions.
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Sans possibilité de se projeter, sans envisager le dessous des cartes, les élèves sont donc plus enclins à voir le monde en noir et blanc. En termes de problèmes plutôt que de possibilités. Cette éducation peut instaurer un réflexe de pensée qui privilégie le pessimisme comme “réaction par défaut” aux nouvelles informations.
Et puis il y a nos expériences personnelles. Les individus ayant vécu des situations de perte, de trahison ou de déception peuvent développer une sensibilité accrue au négatif. Ils perçoivent alors le monde à travers un prisme assombri. Cette inclination au pessimisme est souvent renforcée par le besoin de se protéger contre d’éventuelles futures déceptions.
Les périls d’une vision monochrome.
Et vous quelle est votre vision? Faites gratuitement votre auto-analyse.
Au tableau noir du monde.
Un monde de sans-abris : pratiquement 1 million de personnes en Europe. 300 000 sans-abris (SDF) rien qu’en France et plus de 4 millions de français mal logés.
Un monde de boucherie : près de 1380 milliards d’animaux terrestres et aquatiques sont tués par an pour finir dans nos assiettes. Plus de 43700 animaux sacrifiés chaque seconde! Uniquement en France, nous tuons quelques 3 millions d’animaux non-humains par jour, pour nous nourrir. Alors que cela n’est pourtant pas nécessaire.
Quel triste monde que celui-ci… Un monde dans lequel les enfants sont conditionnés dès leur plus jeune âge, de leur chambre à l’école. Où on leur impose de suivre les règles d’un système qui les rendra esclaves, leur vie durant. Dans un monde où hélas il faut acheter sa vie au prix fort et payer sa mort sans réduction.
Oui… nous vivons dans un monde sans lumière, en noir et blanc. Mais, quand nous échappons un instant à notre mental pour écouter notre cœur, l’intuition dicte les mots. Elle nous souffle que : “Ce monde n’est pas LE monde” et que derrière le mur de nos conditionnements nous pouvons entrevoir un autre tableau de la vie.
La perception de cette carte du monde en noir et blanc, bien que rassurante par sa simplicité, porte en elle des risques non négligeables qui affectent profondément nos sociétés. Cette vision monochrome agit comme un filtre qui altère la complexité et la richesse des interactions humaines. Elle entraîne polarisation, conflits et manque d’empathie notable entre les individus de divers pays et horizons.
Polarisation et malentendus.
Ne restez pas polarisés, reprenez confiance en vous.
La polarisation sociale est l’un des dangers les plus manifestes de cette vision réductrice. En politique, par exemple, la tendance est à classer les opinions uniquement en camps opposés. Par exemple : gauche contre droite en France ou progressistes contre conservateurs dans d’autres pays.
Forcément, cette antinomie ne prend pas en considération la diversité des perspectives, empêche le dialogue et la recherche de solutions consensuelles. Cela peut transformer le débat public en affrontements. Dès lors, le but n’est plus de comprendre l’autre mais de le vaincre.
Les malentendus culturels sont également animés, exacerbés par une vision en noir et blanc. Dans un monde globalisé, l’interaction entre cultures différentes est inévitable et potentiellement enrichissante. Toutefois, quand les gens perçoivent les cultures sous l’angle limité de stéréotypes “noir et blanc”, cela peut mener à des interprétations erronées. Des jugements hâtifs nuisent à une entente mutuelle et on se heurte à un mur d’incompréhension.
En outre, cette vision monochrome limite la créativité. Que ce soit dans les domaines de l’art, de la décoration, du design, ou encore dans les entreprises et la technologie : innover nécessite de pouvoir penser au-delà des limites établies.
Entrave et mauvaise illustration.
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Une perception du globe en noir et blanc entrave la capacité à envisager des alternatives, à combiner des idées de manière inattendue. Ou encore, à développer de nouvelles solutions aux problèmes complexes. Pour ainsi dire, notre imagination se retrouve confinée. C’est un peu comme si nous voulions peindre un tableau au mur avec une seule teinte, enfermé dans notre chambre alors que dehors les couleurs resplendissent.
Enfin, une vision de la carte du monde en noir et blanc réduit notre capacité à éprouver de l’empathie. Comprendre et partager les sentiments de nos semblables est fondamental pour une cohabitation harmonieuse. Sans empathie, les interactions deviennent transactionnelles et les relations humaines, y compris dans le contexte familial, se dégradent sur fond d’animosité.
Passer commande d’un monde en noir et blanc c’est s’assurer la livraison d’une illustration tentante par sa simplicité mais périlleuse par les divisions et les limitations qu’elle engendre.
Changer la couleur des cartes pour s’offrir un voyage en liberté.
Des photos, des images, des reflets…
Ce monde autour de nous, ce ne sont que des photos, des images, des reflets, des cartes, du système existentiel dans lequel nous sommes nés. Toute cette décoration nous fait croire qu’il n’y a rien d’autre et qu’il est impossible de vivre autrement. Cette représentation n’est que le mirage d’une forme de vie. Malgré tout, d’autres formes existentielles sont réalisables sur cette terre.
Par exemple, si tu es triste ou si tu te sens seul, c’est une bonne nouvelle, car, cela signifie que tu aimes ton prochain. Donc, puisque tu apprécies la compagnie tu peux sortir de chez toi pour découvrir les joies de la rencontre et du voyage.
Autre exemple : tu penses que ta liberté t’a été volée, que tu as été conditionné? Alors rappelle-toi, que la liberté se trouve au fond de ton coeur, au fond de ton esprit, au fond de tes tripes. Elle est toujours là, présente au fond de toi, ne demandant qu’à émerger. Le travail, les 35h, l’école, les vacances, les loisirs, le droit au voyage, à aller au restaurant, au cinéma, “gagner sa vie”, payer les taxes, “boucler” les fins de mois…
Le pouvoir a toute une collection de cartes pour jouer au jeu du système en place.
La liberté de sortir du jeu.
Être libre de jouer le jeu des systèmes en place, en France comme ailleurs, ce n’est pas être libre. C’est accepter les règles d’un monde qui n’est pas le tien et s’y soumettre. En définitif, il s’agit d’une très mauvaise illustration de ce que peut être la liberté.
La réelle liberté sur terre, c’est celle que tu vis au fond de toi. Personne sur terre, aucun appareil étatique, dans aucun pays ne pourra t’enlever ta liberté d’aimer, de penser, d’apporter ta contribution, de partager. Et cela, même au fond d’une cellule de prison…
Tu prends conscience de la manipulation médiatique qui assombrit tes idées et transforme tes faits et gestes? Alors tu dois exercer ta liberté de ne plus lire la presse d’état ni écouter les médias mainstream. De cette façon leur manipulation et leur code de pensée, ne pourra plus t’atteindre. Et le jour où suffisamment de personnes ne s’intéresseront plus à ces icônes des temps modernes, elles s’écrouleront.
Voir la vie couleurs ne signifie pas ignorer la réalité. Cela signifie la regarder dans les yeux, avec compassion, courage et détermination. Voir la vie en couleur c’est aussi reconnaître la beauté et la laideur, la joie et la tristesse, l’espoir et le désespoir. Cela signifie accepter la diversité du monde et travailler à le rendre meilleure.
Dépasser la vision dichotomique d’une carte en noir et blanc.
La singulière expression “voir le monde en noir et blanc”.
Cette expression dépeint un état d’esprit où la joie, l’espoir et la complexité de la vie sont remplacés par une vision sombre et pessimiste. Mais que se passe-t-il lorsque nous transcendons cette vision binaire et embrassons une palette colorée et détaillée de la réalité ?
Lorsque la tristesse nous submerge, lorsque la solitude devient assourdissante et que le doute nous consume, la tentation de voir la vie en noir et blanc est forte. Cette perception peut s’intensifier lorsque nous ressentons que notre liberté nous a été volée. Lorsque nous avons conscience d’être conditionnés et que nos choix sont dictés par la peur.
L’absence de rêves, de dessins colorés de l’avenir et l’incapacité à se projeter dans un futur lumineux contribuent également à cette vision pessimiste. De même, lorsque l’espoir s’estompe et que l’idée d’un lendemain pire qu’aujourd’hui s’installe, la carte du monde se décolore, ne laissant que des nuances de gris.
Pourtant, cette vision dichotomique n’est qu’une construction mentale. Il s’agit d’un changement de décoration opéré par des influences extérieures, telles que la désinformation, la manipulation médiatique et les systèmes de pouvoir qui cherchent à contrôler nos perceptions.
Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits. Jim Morrison, chanteur emblématique des Doors.
En effet, la manière dont l’information nous est présentée peut façonner notre vision du monde. Elle nous pousse à adopter l’illustration d’une carte du monde en noir et blanc, qui ne reflète pas une réalité plus complexe.
La vie est un kaléidoscope.
En cultivant la gratitude, en célébrant les petits bonheurs quotidiens et en nourrissant nos passions, nous pouvons contrebalancer la négativité et élargir notre perspective.
Se connecter avec la nature, créer des liens authentiques et s’engager dans des actions positives contribuent également à élargir notre champ de vision. En nous impliquant dans des causes qui nous tiennent à cœur, nous pouvons contribuer à un monde plus lumineux.
Nous avons le pouvoir de changer notre perspective.
La vie est un kaléidoscope de couleurs, d’émotions et d’expériences. Se limiter à des cartes du monde en noir et blanc nous prive de la richesse et de la beauté qui nous entoure. En choisissant de voir la couleur, nous ouvrons la porte à une multitude d’espoirs, de possibilités et de joies.
Pour ne plus voir la carte du monde en noir et blanc : redonnons-lui des couleurs !
Des éclats aux reflets d’arc en ciel.
Au-delà de la carte du monde en noir et blanc, il existe des éclats de couleurs. Des exceptions qui défient les normes et inspirent par leur approche nuancée et colorée de la vie. Ces histoires, qu’elles émanent de personnes, de communautés ou de mouvements, illuminent la possibilité d’un monde plus inclusif et empathique. Elles nous montrent que changer notre perception peut enrichir considérablement notre expérience.
Dans le domaine de l’art, des créateurs utilisent sur leur toile, le métal ou le bois pour défier les conventions et présenter une vision plus fardée de la réalité. Par exemple, les illustrations murales urbaines dans certaines villes transforment des espaces autrement banals en célébrations de diversité. Ces œuvres d’art, sur n’importe quel mur de quartier, sont accessibles à tous et servent de puissants rappels de notre planète riche en couleurs et en histoires.
Des actions simples à mettre en place.
Contribuer à un monde meilleur et faire sa part.
N’ayons pas peur de vivre dans un monde bigarré car cela est possible!
Nous pouvons illuminer le cœur des enfants qui ne mangent pas à leur faim. Par exemple, en donnant une partie de nos revenus. Même seulement 1%, pour leur permettre de s’alimenter correctement. C’est à notre porté immédiate. Il n’est pas nécessaire d’attendre que les politiciens s’en alarment ou que des icônes d’Internet lancent un appel à l’action.
Prenons également conscience de la terrible souffrance de ces 43700 animaux assassinés, chaque seconde dans le monde. Pour notre seul plaisir gustatif! Nous pouvons avoir de l’empathie à leur égard et nous imaginer à leur place. Nous pouvons décider de ne plus contribuer à ce gigantesque génocide. Il nous suffit pour cela, de simplement changer le contenu de nos assiettes.
Fermons les yeux et ressentons ce que ressentent ces êtres sensibles. Alors peut être pourrons-nous illuminer leur cœur et le nôtre, puis y laisser pénétrer la couleur.
Ces exemples ne sont que quelques-uns des possibles éclats de couleur qui peuvent colorier notre monde. Ils illustrent de manière vivante comment une approche plus ouverte et inclusive peut non seulement enrichir notre expérience mondiale mais aussi inspirer d’autres à envisager et à créer une réalité plus colorée et empathique.
La vision du miracle de la vie : l’art de vivre en aimant.
L’amour dans le couple : les 5 secrets pour faire bon ménage.
En fait, cela ne tient qu’à nous et à la manière que nous avons de concevoir la vie. A la manière dont nous voulons laisser notre empreinte, notre image, durant notre passage sur terre. De la manière dont nous voulons partager cette planète avec les autres humains et les autres espèces.
Ce sera toujours la manière dont nous nous positionnerons qui fera la différence. Soit vivre en déployant amour et compassion, dans la lumière. Soit vivre en fermant son cœur, en se cachant derrière des traditions, des textes de lois, des études scientifiques.
Il est grand temps, ne pensez-vous pas, de faire fi de tout ce qu’on tente de nous inculquer. De ne plus voir le monde en noir et blanc, de faire reset sur l’éducation, la nourriture, les règles systémiques, les religions. Il est temps d’expérimenter par nous-mêmes. N’est-il pas temps de nous offrir un autre narratif sur le monde de demain ? Si nous ne le faisons pas, d’autres le feront à notre place.
Vivre est un miracle, respirer est un miracle, voir en est un autre. Aimer est l’un des plus grands miracles. Être centré, avoir de la compassion, être à l’écoute de ceux qui en ont besoin, sont des qualités issues du miracle de la vie sur terre.
Illuminez ce monde pour que seule son ombre persiste dans le noir!
Pour ne plus voir le monde en noir et blanc, donnons aussi un grand coup de pied à tout ce que nous avons appris! Rejetons en masse les règles qui ne servent pas la joie, l’entraide, le soutien, le bonheur, la non-violence pour tout être vivant sur cette planète. Il devient urgent de s’émanciper de tout système politique, de tout système religieux et d’apprendre à vivre.
Pour ceux qui voient le monde en noir est blanc, vivre n’existe tout simplement plus. Coluche posait déjà la question sur la table en disant :
La question n’est pas de savoir s’il existe une vie après la mort, mais de savoir s’il y a une vie avant la mort.
Illuminons notre cœur, illuminons nos pensées. Voyons-nous comme le créateur ou la créatrice de cet univers. Voyons grand, imaginons être Dieu si cela nous enchante. En pensant ainsi, nous réussirons à oser ce que nous n’avons jamais osé.
Ne prêtons pas attention aux vampires d’ambition. Ils ne manqueront pas de nous critiquer car, eux, sont déjà morts. Ils ne peuvent pas nous empêcher de créer les transformations que nous souhaitons voir arriver.
Nous pouvons contribuer à estomper la noirceur du monde en ajoutant nos couleurs, et ainsi, donner raison à la citation “la couleur est la gloire de la lumière”.
Techniques pour cultiver une vision colorée.
La méditation entre-autre “technique”.
Pour passer d’une vision en noir et blanc à une perception plus colorée et nuancée de la carte du monde, nous disposons de plusieurs techniques. Ces méthodes vont de la méditation au voyage, en passant par la lecture diversifiée et l’engagement dans des dialogues constructifs. Voilà autant de voies pour enrichir notre expérience et élargir notre compréhension du monde.
- Calmer l’esprit et réduire les préjugés.
- Observer les pensées et sentiments sans jugement.
- Diminuer la tendance à voir le monde en termes dualistes.
- Accroître l’ouverture d’esprit et l’acceptation des nuances.
- Confrontation directe de la carte mentale avec la réalité diverse autour du globe.
- Ajout de couleurs et de textures à notre monde mappemonde intérieure.
- Meilleure compréhension et appréciation des différences et similarités entre les cultures.
- Découverte et exposition à une multitude de perspectives.
- Transformation du réseau de connaissances et d’émotions.
- Construction d’une collection d’idées plus détaillée, plus riche et plus complète.
- Partage et écoute active d’idées sans préconceptions rigides.
- Découverte d’histoires et de points de vue qui remettent en question la vision binaire.
- Réévaluation de l’idée que nous avons de la carte du monde.
Ces techniques ne sont pas seulement des outils pour voir le monde de manière plus colorée. Elles constituent également des pratiques de vie qui encouragent :
- La croissance personnelle.
- La compréhension interculturelle.
- Une société plus cohésive.
En les intégrant dans notre quotidien, nous pouvons progressivement transformer notre vision du monde, la rendant plus inclusive, dynamique et colorée.
Epilogue : choisir la couleur dans un monde de contrastes.
La voie des Soulminders, le roman de Mika qui collore l’esprit.
Le monde est une illustration de dessins animés et colorés.
Efforçons-nous de voir le monde comme une série continue de spectres et de possibilités. Une planète vibrante, une toile mondiale de cultures, d’idées et de connexions qui ne peuvent être pleinement appréciées qu’en couleur. Le monde est une illustration complexe. C’est bien plus qu’une vague décoration au design uniforme scotchée au mur de notre chambre intellectuelle.
Si percevoir la carte du monde en noir et blanc peut constituer une étape, alors l’embrasser dans sa richesse colorée constitue le voyage. Le monde, ce n’est pas juste une carte sur un mur. Le monde est un tableau vivant, où chaque détail compte, où chaque couleur a sa place.
Notre travail est de peindre ce tableau avec précision et passion. Nous devons montrer que même dans les nuances subtiles, il y a des leçons à apprendre, des beautés à découvrir et des vies à comprendre. Remplaçons le clipart normatif par une œuvre d’art méticuleuse où chaque coup de pinceau, chaque couleur, chaque texture, a un sens et un but!
Ainsi, peut-être pourrons-nous commencer à voir le monde non pas comme une série de divisions noir et blanc, mais comme une mosaïque magnifiquement complexe et infiniment colorée.
Il y a deux façons de voir la vie, l’une comme si rien n’était un miracle, l’autre comme si tout était miraculeux. Citation de Albert Einstein extraite de son livre : “Comment je vois le monde”.
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Thierry Blancheton
Je suis devenu Soulminder le jour de ma première rencontre avec Mika à Bali en 2013. Depuis, je continue de cheminer, d’apprendre et de jouer consciemment mon rôle d’accompagnateur. Ma vie est riche d’expériences et mes compétences ressemblent à un couteau suisse. J’aime à rappeler le proverbe chinois « La connaissance, c’est d’avoir la bonne réponse. L’intelligence, c’est d’avoir la bonne question. »