Article de Mika mis à jour le 7 juin 2024.
Mika nous livre ici des extraits de son journal intime. Des souvenirs précis de, non pas à une, mais quatre expériences de mort imminente (EMI). Ces événements, loin d’être des anecdotes isolées, dessinent un voyage fascinant aux frontières de la conscience. Là où le temps et l’espace semblent se plier à une toute autre réalité.
Chaque retour d’expérience, qu’elle soit sous l’emprise du LSD, au creux des vagues à Bali ou encore dans l’étreinte mortelle d’une cascade, révèle des moments de lumière intense au bout du tunnel. C’est une sensation de paix profonde qui se dégage de chaque Expérience de Mort Imminente et une connexion inouïe avec l’essence même de l’existence.
Ces témoignages singuliers mettent en avant des caractéristiques de fragilité et de sacralité de notre vie sur terre. Et, en même temps, les phénomènes d’EMI soulignent un message universel d’amour, de lumière et de partage. Loin de sombrer dans l’obscurité, l’épreuve de confrontation avec la mort éveille une conscience aiguë du moment présent.
Une “Near Death Experience” incite à vivre pleinement pour soi et pour les autres. C’est une invitation à repenser notre rapport à la vie, à l’individu que nous sommes et à la mort. Au-delà de la peur, c’est aussi l’opportunité de comprendre le profond impact que nous pouvons avoir sur le monde.
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De façon générale, les récits d’EMI démontrent, quels que soient leurs auteurs, que même face aux abîmes les plus sombres, la lumière peut trouver son chemin. Cette lumière qui transforme la peur en sérénité, le désespoir en espoir.
Vous souhaitez vous rendre sur les rives mystérieuses entre vie et mort? Découvrir comment ces expériences ont façonné la vision du monde de Mika au travers de ses témoignages ? Alors, continuez votre lecture et suivez, vous aussi, la lumière.
Découvrez comment ces rencontres avec la mort ont révélé des vérités profondes sur l’existence, le sens de la vie, et la force transcendante de l’amour. N’hésitez pas à identifier quelqu’un dans vos commentaires au sujet des phénomènes d’EMI. Vos amis pourraient bien, eux aussi, être captivés par les récits de vie, de mort et de renaissance, de ceux que l’on nomme “les expérienceurs”.
Laissons maintenant Mika nous parler de ses expériences de mort imminente.
Quel sens profond donnez-vous à votre existence ? N’avez-vous pas sentiment de ne pas vivre car vous avez l’étrange sensation d’être dans l’attente de votre dernière heure ? Le temps s’écoule inlassablement. Il défile dans le même sens, sans jamais être à l’arrêt.
Mais vous, qu’attendez-vous de ce temps qui passe ? Etes-vous les auteurs de votre vie ou seulement les acteurs? Jeune, je rêvais de grands horizons, d’expériences extraordinaires. Je rêvais d’aventures et bien sûr cela m’a amené à prendre sans arrêt des risques. J’avais 17 ans et jamais je n’aurais pensé devenir l’un de ces expérienceurs dont je ne connaissais que peu de chose…
A cette période de ma vie, je prenais du LSD. Et, à un moment donné, j’ai eu une sorte d’overdose. Cela m’amena à une première expérience de mort imminente. Sous l’emprise de la drogue je traversais des phénomènes caractéristiques d’une NDE (Near Death Experience).
Je me souviens me retrouvant dans un puits sans fond, de couleur orange dans lequel je tombais, une chute sans fin, toujours plus bas. Bien plus tard, je réalisais que ces événements avaient duré 12 heures ! Je me rappelle que d’un côté, j’avais la sensation de mon corps attiré vers le fond. Mais, aussi qu’en même temps, je savais qu’il fallait que je dise non pour mettre l’expérience à l’arrêt.
Ainsi, je découvrais que je pouvais sortir du puits, revenir à la surface. Pourtant j’avais la sensation pesante d’être bloqué, de ne pas trouver la force de crier ce “non!” qui me ferait revenir. D’un côté, j’avais la sensation de me trouver dans un puits baigné d’une lumière intense. Mais, en même temps, j’avais cette vision d’un autre puits, sans fond et de couleur très orangée, qui m’attirait irrémédiablement.
Je voyais mon corps se réduire de plus en plus. Vint le moment, douze heures plus tard, où je sentais cette force en moi, de pouvoir me soustraire à l’attraction. Je criais enfin NON, avec une telle énergie que les amis, à mes côtés, ressentir la peur de leur vie!
Quand je suis pour ainsi-dire “revenu à moi”, j’étais frappé de convulsions. Je repris mes esprits quelques temps après, en étant pourtant persuadé d’être mort… J’étais convaincu d’être “passé de l’autre côté”.
A ce moment-là, pour moi, il était inutile de tenter de faire quoi que ce soit, de bouger, de vivre, de chercher. Je ressentais l’intense et étrange sensation que nous étions déjà tous morts. Pour la première fois de ma vie, je venais de me confronter à ma propre mort et de vivre une expérience de mort imminente…
La seconde EMI s’est produite quand je surfais à Bali, au spot de Padang-Padang. Il y avait des vagues de deux mètres cinquante à trois mètres de haut. Après quelques instants dans l’eau, j’ai fait un “wipeout”, une grosse chute dans l’impact de la vague.
Je suis tombé, la vague a pris ma planche et mon leash s’est cassé (le cordon qui relie le surfeur à sa planche). Je me suis retrouvé sous l’eau, pris au piège de la puissance des vagues. J’essayais de toute mes forces de refaire surface mais c’était littéralement impossible.
Je percevais les reflets du soleil scintillant sur la mer et les fonds marins étaient ultra lumineux. En une fraction de seconde, je décidais de descendre encore plus sous l’eau pour essayer de m’accrocher et repartir le plus loin possible.
La lumière solaire miroitait comme des rayons d’ange et je sentais vite que j’étais à bout de souffle. J’ai alors pensé que c’était un beau jour pour mourir. Et, à cet instant, un calme profond m’a envahi. Je me suis senti porté au plus profond de moi-même par une sorte d’amour. Je crois que là, à ce moment précis, j’ai accepté la mort.
Dans mes souvenirs, tout était devenu lumière, même le fond de la mer. Je n’entendais plus les vagues qui claquaient, tout était calme. Puis je me suis retrouvé sur la plage où il y avait des sauveteurs autour de moi qui me réanimaient.
Je me rappelle juste une chose. Quand j’ai réouvert les yeux, j’étais rempli d’un amour profond pour tout ce qui m’entourait. Je venais de vivre ma deuxième expérience de mort imminente. Je rentrais petit à petit dans l’univers des expérienceurs…
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La troisième EMI ou “Near Death Experience“, appelez là comme vous voulez, c’était lors de l’exploration du canyon de “Krane Kali de Gitgit”, toujours sur l’île de Bali. La dernière grande cascade mesure 27 mètres de haut et donc elle est assez puissante!
Je la descendais, avec un sac suspendu à mon harnais, au baudrier. Mais, arrivé en bas, je ne sais pas ce qui s’est passé. La corde s’est bloquée avec mon descendeur et ma combinaison de plongée.
Donc, j’avais le corps dans l’eau jusqu’à la tête, bloqué là, le sac qui me tirait vers le bas. Bien sûr je ne pouvais plus respirer et j’ai commencé à paniquer. Le bruit et le bouillonnement de la cascade étaient terribles, un véritable enfer.
Je me souviens avoir eu vraiment très peur. J’étais véritablement au milieu d’un environnement infernal. Puis est venu le moment où j’ai eu la sensation qu’une bulle se formait autour de moi. Tout s’est subitement arrêté, plus de son, plus d’images, plus de cascades.
Dans mes souvenirs, c’était comme si le temps s’égrainait au ralenti. En fait, je comprenais que tout allait vite, mais moi je percevais cela très calmement comme si ma conscience était détachée des évènements et apaisée. Je voyais les gouttes tomber mais au ralenti.
En même temps, j’avais la sensation de pouvoir réfléchir et analyser très rapidement. Beaucoup plus rapidement qu’habituellement. Alors dans cette bulle, je me suis juste dit, “respire”, respire dans le même état d’esprit que lorsque tu fais du yoga. Je me suis retrouvé au calme et j’étais bien. Là aussi, tout devenait lumineux autour de moi et c’était réellement très agréable.
Soudainement, l’environnement de la cascade est réapparu avec brutalité. Je me suis retrouvé à 50 centimètres des rochers! J’ai vu une pierre à laquelle m’agripper, j’ai réussi à l’accrocher et à la tenir de toutes mes forces. Malheureusement, j’ai rapidement commencé à me tétaniser.
Dans mes souvenirs, je n’avais plus de force et je savais que j’allais lâcher. Il y avait encore le bruit autour de moi et la peur surgissait à nouveau en moi. Pourtant, de façon surprenante, la bulle protectrice est à nouveau arrivée dans une sorte d’éclat de lumière blanche incroyable.
Après un moment de calme et de sérénité, les gestes de ma libération se sont mis en place. Tout doucement, j’ai réussi à mettre la main en dessous de la corde, à la lever pour prendre mon couteau qui était bloqué.
J’ai coupé la corde qui me retenait. Mais mon sac, avec les amarrages, était tellement lourd, qu’il a continué à me tirer vers le fond, dans les remous.
Je vous laisse imaginer… Je vous décris tout cela rapidement, mais cela s’est passé au minimum, en un quart d’heure. J’étais à bout de souffle, tétanisé. Je savais que cette fois, c’était vraiment la fin, c’était inévitable.
Je pensais que je n’arriverais jamais à remonter avec le poids que j’avais aux pieds. Alors j’ai accepté de mourir. Là encore, je me suis dit “c’est ok”. Je me suis mis dans un état de Samadhi (lorsqu’on médite pour se retrouver derrière le souffle) et je suis rentré dans une profonde paix mentale.
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C’est là, qu’une dernière fois, la bulle est revenue. Elle était plus grande et elle a, à nouveau, retiré tous les sons, toutes les craintes, toutes les peurs. Tout a miraculeusement disparu. Comme si ça ne faisait plus partie de ce monde.
Après la bulle, m’est apparu l’image de ma fille Aruna. A l’époque, Aruna avait deux ans. J’écoutais la voix d’une femme qui me disait : “elle ne peut pas rester seule”. Je me suis revu, au ralenti, me recourber sous l’eau, prendre la corde qui tenait le sac, la remonter un peu et la couper.
Alors, le bruit est revenu, j’ai réussi à couper la corde, emporté par le courant, j’ai pu me hisser et sortir de l’eau. J’étais pétrifié! Quand je suis ressorti, j’ai compris à quel point on pouvait continuer à vivre, non plus pour soi mais pour quelqu’un d’autre.
Je crois, comme beaucoup d’autres, que la NDE est une incursion dans une dimension divine de l’être humain qui existe à l’état latent en chacun de nous. Raymond Moody. La lumière de l’Au-delà.
Ma quatrième et dernière expérience de mort imminente, EMI, c’était lors de la descente du Kirana canyon, un site assez dangereux. On devait tourner un film avec une chaîne de TV locale, “Kompas”. Il s’agissait d’une scène de secours, donc on devait filmer un faux secours en canyon.
J’étais allé la veille faire un repérage, pour explorer la première descente et la première cascade. Avec force, l’eau de la cascade rebondissait sur un gros rocher, ce qui faisait que l’on repartait avec une puissance extraordinaire. C’était ainsi lors du repérage mais le lendemain j’ai vu le niveau d’eau qui avait baissé et j’ai dit ok. Il ne devait y avoir aucun problème pour cela.
Pour passer cette cascade, il fallait descendre en rappel, s’arrêter à peu près aux trois quarts, se pousser avec la roche, lâcher la corde et se jeter dans le vide pour arriver dans la vasque.
J’avais mal évalué les conséquences de la baisse du niveau d’eau. Au lieu, que l’eau descende et remonte, elle ne faisait que descendre. Je suis arrivé au niveau où, comme la veille, on devait se lâcher. Je me suis lâché et au lieu de passer sous ce grand train d’eau qui arrivait dans cette gerbe, je suis passé en plein dedans. Imaginez : un train d’eau qui me percute d’un coup à 120 kilomètres heure et me propulse 40 mètres plus loin sur une grosse roche, la tête la première! Je n’ai pas eu le temps de me rendre compte de quoi que ce soit…
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Je me suis éclaté la tête sur la roche. Tout est devenu blanc et lumineux autour de moi, je me sentais alors en paix, c’était incroyable. C’était comme si tout le poids de l’existence disparaissait. J’ai pu visualiser après, ce que j’avais vécu, c’était filmé, j’avais la Go-Pro (surtout le son dans l’eau). Toute mon équipe est venue me rechercher dans la vasque.
J’ai été évacué et j’ai repris connaissance beaucoup plus tard entre les mains d’un docteur. Durant tout ce laps de temps, moi j’étais bien, en paix, rempli d’amour. Il y avait une sorte d’appel profond qui me disait : est-ce que tu veux venir ou pas ? Je n’avais pas envie de revenir, en fait simplement parce que je ressentais un amour comme jamais.
Pourtant, vous pouvez constater qu’à la suite de cette 4ème expérience de mort imminente, je toujours suis là. Finalement, je suis revenu quand même !
J’ai tiré des enseignements très profonds de ces expériences de mort imminente. Ces quatre EMI m’ont permis de mesurer à quel point notre temps de vie est sacrée. La prise de conscience est toujours le message qui s’offre à nous.
Notre temps de vie est sacré et je me suis quand même perdu ! Jusqu’au jour où cette conscience de ne plus vivre pour soi mais pour les autres, en contribuant autour de moi, s’est manifestée.
C’est le sens même de l’existence, le cadeau que livrent ces expériences de mort imminente. A savoir que la vie est amour et lumière. En tout cas, tel qu’il m’a été donné ou permis de le vivre et de le ressentir. Comme je vous le partage dans ces récits d’EMI, c’est simplement le fait de contribuer au bonheur d’autrui par quelques moyens que ce soient.
Faire en sorte que lorsque vous rencontrez une personne, qu’elle reparte dans un meilleur état énergétique, psychologique ou physique. Offrir de votre temps, apporter un soutien, transmettre une idée, donner un peu d’espoir, motiver, parfois juste un sourire.
Pour contribuer, tout simplement. Une expérience de mort imminente, nous rappelle l’importance des contributions que l’on peut offrir à tout moment. Au quotidien, nombreux sont les exemples de contributions ordinaires.
C’est le boulanger, le docteur, le coach, l’artiste ou encore l’entrepreneur qui accomplissent avec charisme leur métier non pas seulement pour gagner leur vie mais tout simplement pour être connectés aux autres. Avec simplicité, ils sont investis dans la vie de la cité. Voilà ce que l’EMI vient nous rappeler.
La vie n’est pas un fleuve aussi long et tranquille qu’on le dit parfois. La vie circule, elle est présente, toujours, partout, avec vigueur. Je dis aux couples qui viennent me voir en coaching : pas besoin de la rendre plus difficile que ce qu’elle est déjà.
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A mon sens, ces évènements de NDE “Near Death Experience”, n’ont rien de magique. Il ne s’agit pas d’un phénomène surnaturel. Ces expériences ne sont absolument pas des événements qui sont “au-delà”, qui sont métaphysiques.
C’est juste l’effet d’un moment où la conscience doit passer à un autre état. Simplement l’effet d’une prise de conscience qui est plus forte que les autres. Ces expériences laissent en fait, une plus grande empreinte intérieure. Les témoignages de beaucoup de personnes qui ont vécu ces expériences de mort imminente relatent, qu’un sens profond ou un chemin de vie s’est révélé.
C’est juste notre propre conscience qui, à un instant précis, se décuple et permet d’avoir accès à des états que l’on n’a pas naturellement. Voilà l’effet d’une EMI, voilà ce qu’elle nous révèle.
Lorsque nous sommes dans un parfait lâcher prise, la seule chose sur laquelle notre âme ou notre conscience peut s’accrocher, c’est sur ce qu’il y a ici et maintenant. Ainsi pour moi, on va dire que le message de cette prise de conscience, c’est de donner de son temps à ceux qui sont prêts à recevoir. Parce que notre temps, notre temps de vie, est sacré.
Avec toute ma gratitude, Mika.
Les expériences de mort imminente (EMI) narrées dans ces récits transcendent le simple phénomène clinique pour toucher au cœur ce que signifie véritablement être vivant.
À travers les épreuves terribles auxquelles Mika a été confronté – overdose, noyade, accidents extrêmes – chaque expérience de mort imminente s’est transformée en une leçon profonde sur la valeur sacrée du temps, l’importance de l’amour, et la puissance de la lumière en soi.
Ces aventures au seuil de la mort ne sont pas de simples survivances. Elles révèlent une profonde transformation de la conscience. Elles offrent à l’individu une vision renouvelée de la vie et de son essence. Les auteurs comme Raymond Moody, Bruce Greyson ou Pim Van Lommel ont étudié et mis en lumière ces phénomènes, confirmant la nature universelle et profondément significative des EMI.
Ces expériences ne relèvent pas de l’anomalie mais témoignent d’une facette intégrale de l’expérience humaine. Elles confrontent l’être à la réalité ultime de la mort et, paradoxalement, à la vitalité de la vie.
L’impact des EMI va au-delà de la survie physique. Elles éveillent les expérienceurs à une conscience accrue de l’interconnexion de toute vie, de l’importance de la compassion et du pouvoir de l’amour.
En dépit de la peur et de la souffrance, ces expériences s’avèrent être des catalyseurs pour un changement profond. Elles incitent à vivre d’une manière plus intentionnelle, orientée vers le bien-être d’autrui.
La conclusion qui se dégage de ces récits est claire : les EMI offrent une fenêtre unique sur les potentialités de l’esprit humain et la nature de notre existence. Elles nous rappellent que, même face à l’arrêt cardiaque, à la perte de conscience cérébrale ou à l’état clinique de mort, quelque chose d’indéfinissable et de puissant persiste.
Ce “quelque chose” défie la science et les explications conventionnelles. Il suggère que la mort, tout comme la vie, est une expérience riche de significations, de découvertes et, ultimement, de renouveau.
Dans cet esprit, les récits d’EMI nous invitent à réfléchir sur notre propre existence, sur les valeurs qui nous guident et sur l’amour qui nous lie les uns aux autres. Ils nous poussent à reconnaître que, dans le grand schéma de l’univers, la mort n’est pas une fin, mais un passage, une transformation, qui réaffirme la beauté et la sacralité de la vie.
La voie des Soulminders, un voyage initiatique.
Bruce Greyson est professeur de psychiatrie aux USA et spécialiste des EMI. Il a dirigé la rédaction du journal Near Death Studies et a reçu de nombreux prix pour ses recherches. Il est l’auteur du Livre : After. Que se passe-t-il après la mort ?
Pamela Reynolds témoigne de son expérience de Near Death Experience dans cette vidéo YouTube.
Au Pays Bas, Le Professeur Pim Van Lommel, cardiologue est co-auteur d’une étude sur les EMI. Vous trouverez la liste de ses ouvrages sur le sujet, ici.
Raymond Moody, docteur en philosophie de nationalité américaine, est à l’origine du néologisme NDE (Near Death Experience) ou EMI en français. Voici ses livres.
Near death : après la vie, où va la conscience ? Débat télévisé.
Et si l’EMI n’était qu’une simple activité du cerveau?
Expérience de Mort Imminente : un dernier sursaut de l’activité du cerveau? (Podcast de 4mn)
Pour une partie de la science, l’EMI, est une hallucination du cerveau.
Un article de Science & Vie qui témoigne qu’une autre partie de la science ne considère pas les Expériences de Mort Imminente comme des hallucinations mais comme des expériences bien réelles.
Je suis devenu Soulminder le jour de ma première rencontre avec Mika à Bali en 2013. Depuis, je continue de cheminer, d’apprendre et de jouer consciemment mon rôle d’accompagnateur. Ma vie est riche d’expériences et mes compétences ressemblent à un couteau suisse.
J’aime à rappeler le proverbe chinois :
« La connaissance, c’est d’avoir la bonne réponse. L’intelligence, c’est d’avoir la bonne question. »
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