A notre époque, chaque actualité annonçant une nouvelle technologie est applaudie comme un pas de plus vers un futur radieux. Aujourd’hui, notre article cible malgré tout, ce que l’on peut nommer le “paradoxe du progrès”. La tech nous rend-elle vraiment plus heureux ?
Depuis l’aube de l’humanité, les innovations sont légion et nous conduisent jusqu’aux prouesses de l’informatique quantique et de l’Intelligence Artificielle. Nous explorons comment, malgré des bonds en avant indéniables dans des domaines tels que la santé, l’énergie ou l’industrie, le bonheur humain reste une quête difficile à conquérir.
Les milliards d’euros injectés dans le “Plan France 2030” révèlent la volonté du président à atteindre les sommets du progrès pour la nation. Pourtant il soulève aussi la question de la véritable finalité de ces innovations technologiques. Nous survivons entre l’espoir d’une société plus connectée et les réalités d’une dépendance accablante aux progrès. Notre investigation révèle les facettes d’un monde où le progrès technique s’accompagne d’un questionnement profond sur notre bien-être et notre liberté.
Cet article est une invitation à réfléchir ensemble à la place de “la new tech” dans notre quête de sens et de bonheur. Participez à la conversation, lisez l’article complet, et n’hésitez pas à identifier quelqu’un dans les commentaires qui apprécierait ce voyage intellectuel.
La formule 10×1%, vous connaissez?
A l’image de la découverte du feu ou de la pierre taillée par nos ancêtres, la technologie a toujours été liée aux innovations. Historiquement, les découvertes ont régulièrement contribué à l’amélioration des conditions d’existence des populations, en transformant leur quotidien. Aujourd’hui, les progrès technologiques sont plutôt définis comme un facteur de perfectionnement de la production ou des biens d’équipement.
La new tech et les progrès techniques interfèrent dans toute la société et dans tous les domaines (Internet, industrie, imagerie médicale, moyens de communication, ordinateurs quantiques, loisirs, sécurité, agriculture..). Tous les jours, en France et aux quatre coins du monde, on apprend que des scientifiques, notamment issus de la “New Tech” ont mis au point une nouvelle technologie.
Les secteurs de l’énergie, des services, de la recherche, de l’armement, de l’armée, de la santé et bien sûr les états, se livrent une véritable course aux innovations. La somme de toutes ces recherches et de toutes ces découvertes pourrait grandement contribuer à nous rendre plus heureux et plus libres.
Seulement, si les entreprises sont aujourd’hui à l’affût des ressources qu’offriront les opportunités technologiques de demain, c’est pour d’autres raisons. En premier lieu pour la rentabilité à venir de l’utilisation de ces nouvelles technologies. En second lieu pour l’appétit des marchés financiers vers les entreprises High Tech et le déploiement de l’intelligence artificielle.
Ces entreprises innovantes, à la pointe, bénéficiant en effet de financements et de lignes de crédit tout à fait incroyables. D’ailleurs en 2021, Emmanuel Macron lançait son “Plan France 2030”, doté de 54 milliards d’euros. Objectif affiché : se mettre en marche pour booster les projets innovants et les start-ups, notamment dans le secteur des nouvelles technologies.
“Les sociétés travaillent pour le progrès de la science mais pas pour le progrès des humains. Et encore moins pour celui des animaux” Mika (vidéo “Le poids de nos choix”)
Pour la place financière, simplement et basiquement, seul le profit guide le choix. Par voie de conséquence, l’intention derrière la recherche est, majoritairement, de d’abord générer du profit avant de générer du bien-être. Les nouvelles technologies censées améliorer notre existence sont donc souvent, paradoxalement et également, sources de mal-être et de perte de liberté.
Nous devenons dépendants, parfois esclaves, de savoirs qui nous dépassent, nous surpassent et, maintes fois, nous asservissent. C’est la spirale du toujours plus de tech pour toujours moins de temps, moins de bien-être, moins de joies, de plaisir, de sérénité, moins de connexion humaine au profit de la connexion numérique… Mais : plus de travail, plus d’efforts, plus de pression, plus de contraintes, de servitude, de dépendance, plus de changements inutiles et continus, etc.
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Économiquement, le progrès technologique se définit comme l’ensemble des éléments qui permettent d’améliorer les méthodes et d’accroitre la production sans que soit modifiée la quantité contributive de facteurs de production.
Les innovations constituent la source principale du progrès et de l’accroissement des nouvelles technologies. Cela constitue une amélioration des connaissances humaines appliquée à la production. À la suite de ces innovations, la “recherche et développement” prend le relais, en développant toutes les perspectives possibles.
Les avancées de la technologie intègrent tous les facteurs de la production. C’est pourquoi, ils ont généré des gains de productivité forcément très favorable à la croissance. Par conséquent, l’objectif est toujours de produire plus avec une quantité de travail moindre ou identique pour le même investissement. Résultat : des progrès technologiques élevés sont à l’origine d’un important développement économique. Les deux s’alimentant conjointement.
Robert Solow est un prix Nobel d’économie américain (1987) qui a énoncé ce fameux paradoxe. Celui-ci dit que l’informatique serait partout, sauf dans les statistiques de productivité. En d’autres termes, le progrès technique apporté par la “new” technologie de l’information et de la communication n’aurait pas autant d’impact sur l’ensemble de l’économie que les précédentes révolutions industrielles. Ceux-ci ayant dégagé d’importants gisements de productivité à l’origine de longs cycles de croissance.
Pour l’expliquer, il y a les modèles économiques. La croissance est limitée à la dynamique transitoire, lorsqu’elle converge vers le rapport capital / travail d’équilibre. Mais on peut sortir de ces postulats. Certains économistes font valoir que c’est avant tout lié au partage, une crise du déficit de partage. Les pays pauvres, ayant accédé aux techniques modernes de production, doivent rattraper les pays riches. Ce qui n’a pas été observé dans l’actualité des 4 dernières décennies… À l’inverse, nous assistons à un accroissement de l’écart entre les niveaux de revenus.
Certain remettent aussi en cause la manière de quantifier et d’analyser le progrès. La croissance économique est-elle un facteur d’amélioration des conditions de vie ? Ou faut-il définir et mesurer autrement le bien-être que par le seul prisme du PIB (Produit intérieur brut)?
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On nous a dit depuis un certain nombre d’années que le progrès allait nous permettre de mieux vivre. Que ces progrès de la science seraient mis au service de l’humain, et que les hommes et les femmes auraient plus de temps pour eux.
Dans notre pays, en France, on a dit que les machines nous permettraient d’être plus autonomes et d’évoluer. Les bienfaits de l’utilisation de l’innovation sont pour quelle année ? C’est la première question qu’on aurait dû poser, en ce siècle passé. Parce que nous n’en n’avons pas encore vraiment bénéficié.
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Mais sommes-nous en évolution ou en régression suite au progrès ? Ce que je veux dire par là, c’est : est-ce que la conscience humaine se déploie vers un mieux ? Ces dernières années, sommes-nous plus heureux ? Sommes-nous plus humains ? Avons-nous développé nos facultés extra-sensorielles ? Sommes-nous plus intuitifs, plus vifs, plus actifs ? Avons-nous développé la télépathie, la médiumnité, la sagesse ? Sommes-nous plus conscients ou tout simplement vivons-nous dans une pleine conscience? Ou bien à contrario, sommes-nous totalement “débranchés” de la réalité ?
Jamais nous n’avons eu autant d’objets connectés, un accès aussi facile au numérique, à internet, à l’information. Jamais non plus, des machines n’ont accumulé autant de données, nous ont autant soutenus, voire même dépassés. Mais avons-nous fait ce saut de conscience qui doit aboutir à un état d’être, de bien-être supérieur ?
Car vivre, c’est bien ça non ? C’est bien avant toute chose, être heureux, être bien dans son corps, dans son esprit, avec son âme. La recherche, oui, mais la recherche de la paix avec soi et avec tous ceux qui nous entourent aussi, non ?
Le progrès nous pousse à aller plus vite, avec plus d’énergie, plus loin. Mais, pour plus de quoi, en fait ? Plus d’informations, plus d’ingurgitations à tout va. Pour plus d’argent, pour plus de souffrance au travail ? Pour se rendre compte un jour que tout est passé si vite que nous n’avons rien vu, rien vécu réellement…
Il y a d’autres gains qui me paraissent tout de même plus importants pour notre existence sur terre que le progrès. Comme être en bonne santé physique, mentale et énergétique. Surtout il y a notre état de bien-être, notre faculté à être heureux chaque jour. Ainsi que trouver la paix de l’âme et la tranquillité de l’esprit dans tout ce que nous faisons. Il y a aussi la connexion avec la joie. La joie est porteuse de vibration élevée. La joie d’être ensemble avec ceux qu’on aime, mais aussi avec tous les autres. Il y a aussi l’harmonie avec notre environnement, avec les autres espèces de notre planète, avec la nature, avec les énergies subtiles.
Allons-nous vraiment dans cette direction avec tout ce progrès et cette innovation technologique ? Il faut se rendre à l’évidence : notre système arrive à épuisement, il étouffe, il suffoque, il s’asphyxie lui-même. En effet, dans sa lente et longue chute dans un gouffre sans fin, entraînant toutes les âmes sensibles et fragiles avec lui, une crise semble s’annoncer.
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Il est évident qu’il est plus que nécessaire de trouver une ou des alternatives à nos systèmes en place. Pour s’en convaincre, pas besoin d’être ingénieur ou d’avoir fait 5 ans d’études en sciences ou en sociologie. Il suffit juste d’ouvrir les yeux en grand et de regarder autour de soi. Vidéo : “L’ère de l’IA”.
Les gens sont tous stressés, “en mode réaction”, à fleur de peau. Ils sont tous de plus en plus malades à cause de l’alimentation qui détruit au lieu de soutenir. Ils sont frustrés pour tout. Plus rien n’est harmonieux : horaires d’activité professionnelle, salaires, sécurité sociale, les lois, les règles. Alors que, à notre époque, le progrès est empreint de toujours plus d’intelligence artificielle, étonnement, tout est dissonant.
La majorité des gens sont insatisfaits dans leur activité professionnelle. Ils sont insatisfaits dans leur relation de couple, certains même avec leurs amis. Il y en a d’autres qui sont tout simplement insatisfaits du véhicule qui leur a été fourni pour avancer dans de bonnes conditions. Oui, ils sont insatisfaits de leur corps. Comme s’ils n’avaient pas eu les bons numéros du loto. Ils oublient simplement que nous avons toutes et tous le corps dont nous avons besoin pour exprimer nos talents et déployer notre âme.
Il semblerait bien que, pour gagner en sagesse, nous ayons maintenant besoin de re-développer l’intelligence humaine pour mieux cadrer l’intelligence artificielle.
“La connaissance sans la sagesse, est de l’intelligence artificielle”. Juliana M.Pavelka
Vous n’êtes pas encore convaincu que notre système nous asphyxie année après année au lieu de nous élever ? Alors suivez simplement l’actualité autour de vous. Observez tous ces gens qui pour se sentir “mieux” avalent à tout va des tranquillisants, des somnifères, des antidépresseurs. Regardez ceux d’entre nous qui recherchent l’ivresse que l’existence semble leur refuser. Ils veulent “décompresser“, avant de rentrer chez eux le soir, avec leur joint ou leur verre d’alcool.
Le problème n’est pas tant le joint (bien que je n’incite absolument pas à fumer) mais si ces personnes veulent décompresser, c’est bien qu’elles sont “sous pression”, non ?
HEALIN : Protocole énergétique de guérison intérieure.
Et puis soyons honnêtes, regardez le temps passé hypnotisés par les écrans qui d’une chaîne à une autre, d’un réseau à un autre, fournissent exactement les mêmes informations. Tout le monde copie tout le monde, la créativité s’éteint, les titres des journaux sont tous les mêmes. Bref, si on ne change pas de système, je pense que nous allons devenir de plus en plus stupides, idiots, et surtout ignorants.
Le progrès technologique, la new tech, n’ont de sens que s’ils contribuent au bonheur de chacun et non aux intérêts financiers de quelques-uns. Vidéo : “La technologie est-elle au service de l’humain pour éliminer la souffrance dans le monde ?”
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Nous vivons plus longtemps grâce aux progrès de la science, de la technologie, mais vivons-nous plus heureux, plus libres ? Nous allons 50 fois plus vite qu’il y a 15 ans en effet. Mais faisons-nous les choses avec plus de conscience, plus de présence ?
Nous avons accès à pratiquement tout en un clic grâce au numérique et internet. Mais mettons-nous de la valeur dans ce que nous faisons ou apprenons ?
Et parlons de nos facultés spirituelles, ont-elles grandi en puissance ? Les technologies s’accumulent, la 6G qui s’installe alors que la 5G n’est pas encore complétement déployée. Mais qu’en est-il du déploiement de nos facultés énergétiques et vibratoires ?
La technologie s’intéresse aux objets, à la communication, aux énergies (gaz, pétrole, nucléaire, solaire). Mais pourquoi ne pas s’intéresser à nos propres facultés, nos propres énergies et à notre environnement? Nous développons de l’Intelligences Artificielle, pour mieux comprendre les besoins des autres, dans un objectif commercial. Mais, pourquoi ne pas créer de l’Intelligence Artificielle pour nous aider à développer nos facultés spirituelles ? Pour prendre tout simplement soin de nous, de la terre, de la faune, de l’environnement?
Alors oui, notre système s’épuise et a besoin d’une remise à zéro. Mais attention, je ne parle pas du Grand Reset, d’une renonciation de tout progrès technologique. Je parle d’un abandon de ce qui est non essentiel au bonheur des êtres vivants sur cette planète. Un petit effort de renoncement qui nous offre cette opportunité de grandir.
Et ça commence par lâcher un tant soit peu la technologie. Par exemple durant sa journée, pour se centrer sur soi et méditer. La méditation accroît la faculté de se désidentifier des croyances limitantes injectées par un système qui ne veut surtout pas que les gens deviennent autonomes. La méditation permet d’avoir un esprit critique, de se détacher peu à peu des choses inutiles.
Vous pouvez utiliser des objets technologiques sans en être esclave. Il y a aussi le fait de redonner du sens. Un sens qui va au-delà du sens de la vie enseigné par les institutions. Comme la nécessité de travailler, gagner de l’argent, consommer, voter. Puis encore et encore, aller regagner de l’argent pour le dépenser, fonder une famille, accumuler des objets puis vieillir. Et comme ce n’est pas assez encore, trouver de l’argent pour le dépenser à nouveau, puis mourir en laissant de l’argent pour payer sa propre mort.
“Il est hélas devenu évident aujourd’hui que notre technologie a dépassé notre humanité”. Albert Einstein.
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Sortez de cette boucle infernale et empoisonnante. Donnez un sens sacré à votre existence. Là où l’amour résonne, où la gratitude brille, et la contribution est reine. Et puis commencez à nourrir un imaginaire différent de celui que ce système aliénant vous propose. Autorisez-vous par exemple, à penser un monde sans argent, sans gouvernance et lobbys. Un univers où la nourriture est partagée, où l’accès à l’eau est gratuit pour tous. Un monde où le travail n’existe plus mais où seule la véritable expression de ses talents compte.
Un monde où il n’y a plus d’école, mais un accompagnement personnalisé pour chaque enfant, afin que chacun puisse exprimer ses talents. Difficile de s’imaginer cela, n’est-ce pas ? En revanche, si vous ne le faites pas, d’autres prendront un grand plaisir à s’imaginer un monde dans lequel vous vivrez. Pour comprendre cela, il nous suffit d’observer le fait que nous vivons actuellement dans un monde qui a été imaginé par d’autres. Alors pour pouvoir affronter cette forme de réalité d’un monde qui ne nous correspond pas, pour la rendre un peu plus supportable, nous sommes presque obligés d’entretenir en nous quelques folies.
Mais ce monde et ses systèmes malades n’est pas “la” réalité. Cette combinaison est une multitude de prisons dorées, desquelles il est grand temps de nous sauver. Ne nous battons pas contre ces systèmes. Créons autre chose, une autre actualité, une autre réalité, comme nous nous efforçons de le faire, par exemple, avec le Grand Projet. Nous créons un autre imaginaire qui vise le bonheur, le bien-être, le partage, la santé, l’amour, le soutien, sans argent ni gouvernance, sans lobby… sans ce qui nous asphyxie.
Oui ces systèmes ne sont pas la réalité car la réalité, c’est ce qui continue d’exister lorsque tout le monde cesse d’y croire… Si nous ne croyons plus en ce système, il s’effondrera de lui-même. Et ce qui continuera d’exister, ce sera la conscience humaine et l’amour.
Et même si plus personne n’y croit, l’amour et la conscience humaine continueront d’exister. Nourrissons cette lumière en nous, nourrissons l’amour en nous. Nourrissons la force du cœur et l’union des êtres. Car, aussi puissants que soient la technologie et les systèmes en place, ils sont ultra fragiles et ne dépendent que de l’électricité. Il suffirait d’une seule méga explosion solaire pour que tout s’arrête à l’instant T.
Que restera-t-il ? Nous…
La voie des Soulminders : le livre.
Cet article met en lumière les multiples facettes de la nouvelle technologie, oscillant entre promesses d’un futur bienheureux et réalités d’un présent complexe. Alors que nous naviguons dans cette ère de transformation accélérée, il est crucial de s’interroger sur le véritable impact de ces avancées sur nous-même.
Le défi consiste à réconcilier progrès et bien-être, innovation et humanité, pour que la technologie devienne un véritable catalyseur de bonheur et non une source de désenchantement.
Nous vous invitons à réfléchir et à partager vos pensées dans les commentaires : comment voyez-vous l’évolution ? Quelles actions pouvons-nous entreprendre pour assurer que le progrès nourrisse réellement notre bien-être ?
Je suis devenu Soulminder le jour de ma première rencontre avec Mika à Bali en 2013. Depuis, je continue de cheminer, d’apprendre et de jouer consciemment mon rôle d’accompagnateur. Ma vie est riche d’expériences et mes compétences ressemblent à un couteau suisse.
J’aime à rappeler le proverbe chinois :
« La connaissance, c’est d’avoir la bonne réponse. L’intelligence, c’est d’avoir la bonne question. »
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