Effondrement? Un appel à l’éveil des consciences.
Pour quand sera la fin du monde?
Il existe diverses prédictions, des prophéties bibliques, des théories modernes, qui alimentent notre étrange “fascination” pour la date de l’Apocalypse à venir. Au fil des siècles, certains l’ont prédit avec précision, annonçant une date fatidique, d’autres, plus prudents laissant planer le doute sur la décennie exacte. Et puis, il y a ceux qui s’en remettent à Dieu, persuadés que seul le Tout-Puissant sais : pour quand sera la fin du monde?
Aujourd’hui, l’angoisse de la fin du monde est ravivée par de nouveaux dangers. La menace nucléaire, avec ses armes de destruction massive, plane sur nos têtes comme une épée de Damoclès. Le changement climatique, avec ses catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes et violentes, n’est pas en reste. Et que dire des risques géopolitiques, avec des tensions croissantes entre les pays ou des guerres comme Russie – Ukraine, qui font craindre un embrasement mondial ?
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Plutôt complexe que d’essayer de prédire quand sera la fin du monde, en quelle année, à quelle date et à travers les différentes cultures, n’est-ce pas? Sans nous lancer dans cet exercice, nous examinerons la théorie captivante de Marc Halévy sur les cycles de l’histoire humaine. Selon ce principe, des schémas récurrents d’effondrement et de renaissance reviennent tous les 550 ans. Mais, est-ce que cela signifie l’apocalypse pour notre avenir ?
Peut-être que l’effondrement systémique actuel est une opportunité plutôt qu’une tragédie. Peut-être qu’un effondrement pourrait être nécessaire pour enfin modifier profondément notre relation avec “Gaïa”?
Fin du monde ou pas, préparez vous au changement…
Introduction.
Depuis des temps immémoriaux, l’humanité a été fascinée par l’idée de l’apocalypse. Des mythes antiques aux prédictions modernes, cette fascination a imprégné les récits, les croyances et les cultures à travers la planète. L’apocalypse est souvent présentée comme une rupture cataclysmique de notre existence. Elle a alimenté l’imaginaire collectif et suscité des débats intenses. Aujourd’hui on se pose toujours et encore la question : quand sera la fin du monde?
L’objectif de cet article est d’examiner cet engouement pour la fin du monde. Nous évoquerons les différentes prédictions qui ont jalonné l’histoire en essayant de comprendre l’effondrement systémique actuel de nos sociétés. Nous passerons en revue des récits anciens et modernes, des théories, des prophéties religieuses…
Plus qu’un simple exercice spéculatif, cette exploration nous amène à réfléchir sur notre rôle individuel et collectif dans la préservation de notre planète et dans la création d’un avenir viable pour les générations à venir.
À travers cette chronique, nous découvrirons que la question n’est pas seulement de savoir quand sera la fin du monde. Mais, surtout comment nous pouvons agir dans le présent pour façonner un avenir plus durable.
Prédictions et prophéties à travers les âges.
Les prédictions sur la fin du monde ont traversé les âges, prenant différentes formes selon les cultures et les croyances. Les Mayas, avec leur calendrier énigmatique, ont captivé l’imagination avec leur prédiction d’une fin cataclysmique en l’année 2012. Les interprétations bibliques ont également alimenté les spéculations, avec des visions apocalyptiques de destruction et de renouveau.
Dans l’islam, les hadiths du Prophète Mahomet mentionnent des signes de la fin des temps. Par exemple avec la montée de faux prophètes et l’augmentation des conflits. Les peuples indigènes du monde entier ont leurs propres récits et prophéties, souvent centrés sur l’harmonie entre l’homme et la nature, l’homme dans l’univers, etc.
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Cependant, toutes ces prédictions ne prédisent pas nécessairement une fin du monde dans le sens littéral. Certaines parlent plutôt de transitions ou de renouvellements du monde. Elles soulignent plutôt la nature cyclique de l’existence que l’apocalypse proprement dite. Ce qui peut sembler comme une fin pourrait être interprété comme un nouveau commencement. Ce serait une opportunité de transformation et de croissance.
Ainsi, la variété des interprétations de la fin du monde reflète la diversité de l’expérience humaine et de la perception du temps. Plutôt que de craindre la fin imminente, nous pourrions voir ces prédictions comme des rappels de notre interconnexion avec le cosmos et de notre responsabilité envers la Terre et ses habitants.
Mais, au-delà des prophéties et des prédictions, se trouve une invitation à réfléchir sur notre propre rôle, sur ce que nous pouvons modifier dans la création de notre avenir collectif.
Diverses anticipations historiques sur la fin du monde :
- La prophétie maya. Elle nous livre un récit de la fin du monde pour le 21 décembre 2012.
- Les interprétations bibliques de l’apocalypse, avec des références à l’Armageddon.
- Les prédictions islamiques sur les signes de la fin des temps, comme l’avènement du Dajjal.
- Les prophéties des peuples indigènes. Elles concernent des bouleversements cataclysmiques ou des transformations cosmiques.
- Les spéculations sur la fin du monde liées à des événements historiques : les guerres mondiales ou les pandémies, etc.
- Les théories modernes. Ce sont souvent des risques existentiels comme les menaces nucléaires et les changements climatiques.
- Les récits apocalyptiques dans la littérature et les médias populaires. Ils influencent les perceptions contemporaines de l’avenir de l’humanité.
- Les prédictions astrologiques et ésotériques. Elles sont basées sur des alignements planétaires ou des cycles cosmiques.
- Les visions prophétiques de saints, mystiques ou visionnaires au cours de l’histoire. Elles offrent des perspectives variées sur la fin des temps.
- Nostradamus. Devenu célèbre pour ses prédictions dont “le début de la fin du monde” pour l’année 2023/2024.
- Les conjectures sur l’avenir de l’humanité basées sur les avancées technologiques et les tendances sociétales. Par exemple l’intelligence artificielle ou la mondialisation.
- L’apocalypse par une 3ème guerre mondiale qui serait nucléaire. Cela n’a jamais été autant d’actualité dès la 1ère année de la guerre en Ukraine .
Ces diverses anticipations reflètent la fascination perpétuelle de l’humanité pour son propre destin et soulignent la complexité de notre relation avec le temps et l’existence.
La comète de Halley.
Un exemple notable de prédiction de fin du monde “naturelle”, liée à une comète, est celui de la comète de Halley. Lorsque qu’elle est apparue dans le ciel au 20ème siècle, certains ont spéculé sur les effets cataclysmiques qu’elle pourrait avoir sur la Terre.
Lors de son passage l’année 1910, la comète de Halley a suscité nombre de rumeurs. Certains craignaient que cela ne provoque des catastrophes naturelles, des maladies ou même la fin du monde. Ces craintes ont été alimentées par des publications sensationnalistes et parfois des interprétations scientifiques erronées.
Finalement, cette année-là, la comète de Halley est passée sans incident majeur, dissipant les peurs.
L’inévitable effondrement systémique.
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Catastrophe climatique et destruction.
L’effondrement systémique est une notion souvent associée à l’apocalypse. Elle semble de plus en plus inévitable à mesure que nous observons les ravages de notre empreinte sur la planète. La destruction environnementale, la perte alarmante de biodiversité et la dégradation continue des paysages sont autant de signes annonciateurs d’une échéance catastrophique.
Nos sociétés modernes, axées sur la croissance économique et la consommation effrénée des ressources naturelles, sont en train de précipiter la Terre vers un point de non-retour. Les activités humaines, telles que l’exploitation des combustibles fossiles, la déforestation massive et l’agriculture intensive, dégradent rapidement les écosystèmes qui soutiennent la vie sur notre planète.
Face à cette réalité alarmante, il devient de plus en plus évident que notre mode de vie actuel est insoutenable à long terme. Les scientifiques tirent depuis des décennies la sonnette d’alarme. Ils nous mettent en garde contre les conséquences désastreuses de nos actions sur l’équilibre écologique de la Terre.
Nous sommes confrontés à un choix crucial : continuer sur la voie de la destruction, en risquant la survie même de notre espèce, ou prendre des mesures drastiques pour modifier notre comportement et réparer les dommages que nous avons causés à la planète.
Relation à la terre.
Par conséquent, il nous faut repenser fondamentalement notre relation avec la Terre. Nous devons reconnaître que nous ne sommes pas séparés de la nature mais interconnectés avec elle. Nous devons adopter des modes de vie plus durables, favoriser la préservation de la biodiversité et restaurer les écosystèmes dégradés.
Cela nécessitera un changement radical dans notre façon de penser et d’agir en tant qu’individu et que société. Nous devons abandonner l’idée selon laquelle la croissance économique illimitée est possible sur une planète aux ressources finies. Il est nécessaire d’embrasser maintenant un modèle de développement respectueux de l’environnement et équitable pour tous les êtres vivants.
“La fin du monde” n’est donc pas une question de “si”, mais bien de “quand”, si nous ne prenons pas des mesures décisives dès maintenant pour changer de cap. Nous sommes à un point critique de notre histoire où nos choix détermineront le sort de la civilisation humaine et de notre foyer.
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La terre après nous.
Lorsque nous discutons de “Quand sera la fin du monde”, il nous faut considérer que la Terre continuera d’exister bien après que l’humanité ait disparu. La notion de fin du monde devrait être comprise comme une extinction de l’humanité. Pas comme la disparition de la planète elle-même.
Même si l’humanité fait face à son extinction en raison d’une guerre nucléaire mondiale, de catastrophes naturelles ou de l’effondrement de la civilisation, la Terre survivra. Après notre disparition, la nature reprendra ses droits et commencera le processus de régénération.
Les écosystèmes se rééquilibreront, laissant place à de nouvelles formes de vie adaptées aux conditions qui prévaudront après notre départ. Les forêts repousseront, les océans se rétabliront et la biodiversité connaîtra une renaissance.
Cette perspective peut sembler sombre, mais elle offre également une lueur d’espoir. En reconnaissant notre vulnérabilité en tant qu’espèce, nous sommes incités à prendre des mesures pour préserver la planète et assurer un avenir aux générations futures.
Au lieu de craindre la fin du monde, nous devrions nous concentrer sur la préservation de la vie sur. Sur notre responsabilité envers les êtres vivants qui partagent la planète avec nous. En agissant maintenant nous pouvons contribuer à garantir que la Terre continue à prospérer.
Ainsi, la “Quand sera la fin du monde” devrait être perçue comme une transition plutôt que comme une disparition totale. C’est un rappel de notre place éphémère dans l’univers et de notre devoir de protéger et de préserver la beauté et la diversité de l’existence ici-bas.
Copie d’écran du “Monde de la courbe verte” de Marc Halévy :
Le cycle de 550 ans de Marc Halévy.
Marc Halévy, éminent penseur et philosophe, a développé une théorie intrigante sur le cycle de 550 ans de l’histoire humaine. Selon lui, notre parcours à travers le temps est ponctué par des périodes d’effondrement et de renaissance. Ces périodes interviennent environ tous les 550 ans.
Cette théorie suggère que l’humanité traverse des phases cycliques de croissance et de déclin. Chaque phase est marquée par des événements majeurs qui redéfinissent notre trajectoire collective. Ces cycles ne sont pas linéaires. Ce sont plutôt des spirales évolutives qui nous ramènent périodiquement aux mêmes défis et opportunités.
En examinant l’histoire à la lumière de cette perspective, nous pouvons identifier des moments clés qui correspondent aux prédictions de Halévy. Des périodes de guerre, de révolution, de catastrophe naturelle ou de changement technologique radical ont souvent coïncidé avec ces cycles de 550 ans.
Aujourd’hui, alors que nous sommes confrontés à des défis existentiels tels que le changement climatique, la perte de biodiversité et les menaces nucléaires, la théorie de Halévy prend une couleur particulière. Nous pourrions être en train de vivre la fin d’un de ces cycles. Il nous faudrait alors nous préparer à une nouvelle phase de transformation et de renaissance.
Cela soulève des questions fondamentales sur l’avenir de l’humanité et sur notre capacité à surmonter les défis. Sommes-nous condamnés à répéter les erreurs du passé? Pouvons-nous apprendre des leçons de l’histoire et créer un avenir plus harmonieux ?
Quelle que soit la réponse, la théorie de Halévy nous invite à réfléchir sur notre place dans le grand arc de l’histoire. A réfléchir sur les choix que nous faisons aujourd’hui qui façonneront le monde de demain.
Le cycle des 550 ans : visuel du “Monde de la courbe verte” de Marc Halévy.
Quand sera la fin du monde? Pourquoi un effondrement peut être nécessaire.
Considérons l’effondrement comme une opportunité plutôt qu’une tragédie! Parfois, pour que quelque chose de nouveau puisse émerger, l’ancien doit d’abord s’effondrer. L’histoire regorge d’exemples où les catastrophes ont été les catalyseurs du changement. Dans notre cas, l’effondrement de notre civilisation pourrait être le choc nécessaire pour réorienter notre trajectoire vers un avenir plus durable.
L’effondrement offre une occasion de prise de conscience collective. Quand les systèmes sur lesquels nous comptons s’effondrent, nous sommes forcés de réévaluer nos priorités et nos valeurs. Cela peut nous amener à remettre en question les fondements mêmes de notre société et à rechercher des alternatives plus éthiques et équitables.
De plus, l’effondrement peut nous libérer des schémas de pensée et des structures sociales qui nous retiennent. Nous sommes souvent enfermés dans des modèles de comportement qui ne servent pas notre bien-être à long terme. L’effondrement nous permet de nous libérer de ces contraintes et de redéfinir ce qui est vraiment important pour nous en tant qu’individus et en tant que société.
Enfin, l’effondrement peut être l’occasion d’un renouveau. C’est peut-être une lapalissade, mais après la destruction vient la possibilité de reconstruction. Nous pouvons utiliser cette opportunité pour créer un nouveau monde, meilleur, basé sur des principes de durabilité, de coopération et de respect de la nature. Nous pouvons adopter des modes de vie plus simples et plus respectueux de l’environnement et rétablir l’harmonie avec la Terre.
Cela ne veut pas dire que l’effondrement est souhaitable ou que nous devrions l’attendre avec impatience! Au contraire, nous devons travailler activement pour éviter un effondrement catastrophique. Nous devons prendre toutes les mesures dès maintenant pour préserver notre planète et notre civilisation. Cependant, si un effondrement devait se produire, nous devons être prêts à en tirer des leçons et à saisir les opportunités qu’il présente.
L’ombre de l’humanité : le poids de nos choix.
Fiction d’une fin du monde annoncée.
Minuit au cadran de l’horloge.
“Au cours des dernières années du siècle, le bulletin périodique d’un groupe de scientifiques secoua tous les pays du monde. Il a prédit avec certitude, que le compte à rebours de la destruction planétaire était enclenché. Leur théorie, élaborée après des années d’observation minutieuse des évènements climatiques et des risques nucléaires, résonna comme un sombre présage.
Des images terrifiantes évoquaient l’inéluctable. Les minutes semblaient se transformer en secondes, tandis que le monde se rapprochait de minuit sur l’horloge. Dans les églises et les lieux de prière les fidèles se rassemblaient pour prier, cherchant protection et réconfort.
Des livres anciens furent dépoussiérés, des prophéties retrouvées. Certains se tournèrent vers les écrits de Nostradamus, cherchant des réponses dans ses versets mystérieux. D’autres invoquèrent la parole divine, espérant un miracle de Dieu ou de Christ lui-même.
Pendant ce temps, les tensions s’intensifièrent. Des états se préparaient pour une inévitable guerre nucléaire tandis que d’autres se lançaient à la recherche d’un refuge, un lieu sûr dans un univers désormais hostile.
Dans les rues de New York, de Paris, de Kiev et de toutes les grandes villes du monde, l’anxiété régnait. Les gens regardaient anxieusement vers le ciel, redoutant le minuit fatidique, sur l’horloge de la fin du monde, où les cieux s’embraseraient.
La France, l’Ukraine, et d’autres états d’Europe étaient au centre des craintes, leurs destins étroitement liés à la nouvelle ère qui s’annonçait. Les théories sur la manière dont cela se terminerait étaient innombrables, mais aucune n’offrait de réconfort face à l’ampleur de la catastrophe imminente.
Et alors, à l’horloge cosmique, le moment redouté arriva. Les cloches sonnèrent à minuit, marquant la fin d’un monde et le début d’une ère de destruction sans précédent. L’univers retint son souffle, tandis que les derniers instants de ce monde ci s’effaçaient dans les abysses de l’histoire.”
Epilogue.
En conclusion, la “fin du monde” reste une énigme complexe et insaisissable, imprévisible et multifacette. Les nombreuses prédictions et théories qui circulent reflètent, certes, notre fascination humaine pour l’apocalypse mais aussi notre anxiété face à l’incertitude de l’avenir.
Cependant, au-delà de la fascination morbide pour la catastrophe imminente, nous devons comprendre que l’effondrement systémique actuel est un appel à l’action. C’est un rappel brutal de notre impact sur la planète et de notre responsabilité envers les futures générations.
Nous devons saisir cette opportunité pour réfléchir à notre rôle individuel et collectif dans la préservation de la vie sur Terre. Chacun de nous a le pouvoir d’apporter des changements significatifs dans nos vies quotidiennes, que ce soit en réduisant notre empreinte écologique, en agissant pour la paix, en soutenant des initiatives durables ou en plaidant pour des politiques environnementales plus responsables.
En fin de compte, la survie de notre espèce et de notre planète dépend de notre capacité à travailler ensemble pour relever les défis qui se présentent à nous. Cela nécessite un engagement collectif à mettre de côté nos différences et à travailler vers un objectif commun : créer un avenir durable et équitable pour tous les habitants de la Terre.
Ajanta : les rituels holistiques du matin.
Alors, quand sera la fin du monde ?
La réponse est simple : personne ne le sait. Ni les scientifiques, ni les politiciens, ni les chefs religieux. Pas même les groupes ésotériques qui scrutent les signes annonciateurs de l’apocalypse.
En la matière, le seul bulletin météo fiable, c’est celui de la vie quotidienne. La fin du monde peut arriver à tout moment, pour chacun d’entre nous. Alors, que faire ? Se laisser paralyser par la peur ? Se terrer dans son bunker en attendant le pire ? Peut-être que la réponse réside dans nos actions présentes et futures. En travaillant ensemble pour prévenir l’extinction et créer un avenir meilleur, nous pouvons changer le cours de l’histoire et assurer la pérennité de la vie sur notre planète.
La meilleure façon de se préparer à l’Apocalypse, c’est de profiter de chaque instant de vie. De vivre pleinement chaque jour et de chérir les gens que nous aimons dans ce monde. Même si le chao est inéluctable, la vie, elle, est précieuse. C’est à nous de la rendre belle et d’avoir de la gratitude.
S’engager :
- Réduire l’empreinte écologique en adoptant des modes de vie durables et en limitant la consommation excessive.
- Soutenir de nouvelles énergies renouvelables et moins polluantes.
- Participer à des actions de sensibilisation sur les enjeux environnementaux et encourager d’autres personnes à agir.
- Plaider pour des politiques gouvernementales plus ambitieuses en matière de protection de l’environnement.
- S’impliquer dans des projets de reboisement et de conservation de la biodiversité.
- Réduire de plus en plus la consommation de viande et promouvoir une alimentation plus végétale.
- Adopter des pratiques agricoles durables et soutenir les agriculteurs qui œuvrent pour la préservation de l’environnement.
- Investir dans des entreprises et des initiatives respectueuses de l’environnement.
- Prêter main forte à des actions de nettoyage des déchets et promouvoir le recyclage.
- Soutenir les communautés locales dans leurs efforts de résilience face aux changements climatiques.
- S’engager et agir pour la paix et la non-violence en soi et dans le monde.
En prenant tous notre avenir en main, ces actions individuelles et collectives peuvent contribuer à prévenir la fin du monde.
Bibliographie.
- Quelques mots avant l’Apocalypse. Lire l’Evangile en tant de crise. Un livre de Adrien Candiard.
- Les secrets de l’Apocalypse. De Gérard Bodson.
- Année 3702, la fin du monde. Un récit surprenant de Chantal Adam.
- L’horloge de la fin du monde. Troisième Guerre mondiale. Un livre écrit par Charles Bruno Piris. Cette idée d’horloge de la fin du monde également appelée “l’horloge de l’Apocalypse” a vu le jour par Albert Einstein, en l’année 1945. C’est une horloge conceptuelle créée au début de la guerre froide. Ce sont les directeurs du “Bulletin of the Atomic Scientists” de l’université de Chicago qui la mette régulièrement à jour. La particularité de cette horloge, c’est que « minuit » indique la fin du monde.
- Les prophéties de Nostradamus par Serge Hutin et Baudoin Bonsergent.
- La guerre de la fin du monde. Livre de Mario Vargas Llosa.
- La Guerre… Essai de métaphysique nucléaire de Jean-Pierre Dupuy
- George Orwell 1984.
- Fin du monde et petits fours. Les ultra-riches face à la crise climatique. Edouard Morena.
- La fin du monde. Roman de Fabrice Colin.
La voie des Soulminders, le roman initiatique de Mika.
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Thierry Blancheton
Je suis devenu Soulminder le jour de ma première rencontre avec Mika à Bali en 2013. Depuis, je continue de cheminer, d’apprendre et de jouer consciemment mon rôle d’accompagnateur. Ma vie est riche d’expériences et mes compétences ressemblent à un couteau suisse.
J’aime à rappeler le proverbe chinois :
« La connaissance, c’est d’avoir la bonne réponse. L’intelligence, c’est d’avoir la bonne question. »
