Pourquoi la connaissance de soi n’est plus enseignée à l’université ?
Article de Mika mis à jour le 29 mai 2024
Connaissance de soi : une approche essentielle.
Découvrez pourquoi l’introspection et le développement personnel sont souvent absents des cursus universitaires.
La philosophie et la psychologie offrent des outils précieux pour l’exploration intérieure. En effet, comprendre sa propre identité, ses émotions et ses forces nécessite une réflexion approfondie. Cependant, les méthodes universitaires actuelles se concentrent principalement sur des paramètres matériels et quantifiables.
Il est essentiel de redécouvrir et de promouvoir l’importance de la connaissance de soi dans l’éducation. Plongez-vous dans notre article. Approfondissez cette perspective indispensable et enrichissez votre développement personnel.
Table des matières.
- Introduction.
- Et si l’université enseignait la connaissance de soi ?
- Deux grandes méthodes pour la connaissance de soi.
- Ce que nous livre l’approche universitaire.
- Les principales sous-disciplines de la psychologie universitaire.
- La connaissance de soi et l’approche universitaire.
- L’approche philosophique de l’âme.
- Que dois-je faire ?
- En résumé.
- Conclusion : la connaissance de soi est une nécessité éducative.
Introduction.
Recevez gratuitement nos ressources.
Deux grandes méthodes pour se connaître.
- Approche scientifique. Considérer la personne comme un objet matériel. On utilise des techniques statistiques et mathématiques pour étudier le comportement humain de manière physique.
- Approche introspective. Voir l’individu comme un sujet doué de conscience. L’analyse approfondie de soi permet d’explorer les pensées et les émotions échappant aux méthodes purement scientifiques.
L’enseignement universitaire actuel.
Les facultés de médecine et de psycho se concentrent sur des aspects biologiques, chimiques et statistiques comportementaux. Avant tout, les disciplines telles que la psychologie expérimentale, développementale et clinique se focalisent sur des mesures physiques et quantifiables.
Le manque d’introspection.
Les universités négligent l’analyse introspective des valeurs, des attitudes et de la conscience. Ainsi, cette absence limite notre compréhension globale de l’humain. Car, elle laisse de côté l’essence de l’âme et les questionnements philosophiques essentiels.
Et si l’université enseignait la connaissance de soi ?
Comment mener une réflexion et avoir une approche plus précise de la connaissance de soi en s’étudiant soi-même ? Comment effectuer un travail de développement personnel? Un travail d’apprentissage de soi ?
Apprendre qui l’on est, demande de connaître des notions principales philosophiques et psychologiques, pour un travail intérieur, introspectif.
Le mot psychologie vient du Grec Psukhê se traduisant par psyché. Psyché veut dire âme et Logos littéralement signifie parole. En science, on parlera de discours rationnel à propos d’un sujet particulier… Et d’un point de vue sémantique et étymologique, il se définit donc d’une façon générale comme la science de l’âme.
Testez notre Ebook interactif offert.
Le mot Philosophie vient des mots Grecs Philein qui se traduit par Aimer et de Sophia qui signifie Sagesse. Soit littéralement « l’Amour de la sagesse ».
La philosophie, d’un point de vue sémantique et étymologique, se définit donc d’une façon générale comme un questionnement. Une interprétation et une réflexion sur le monde et l’existence de l’humain.
De multiples définitions de l’âme ont été données dans le monde, au cours de l’histoire de l’humanité. Les conceptions de l’âme sont loin d’être homogènes. Elles diffèrent selon les écoles philosophiques ou les méthodes d’études.
Deux grandes méthodes pour la connaissance de soi.
Le Cercle : une autre approche de la connaissance.
En premier lieu : le principe qui consiste à considérer la personne comme un objet matériel. Objet que l’on peut mesurer, disséquer, peser, analyser, comparer, etc… C’est le savoir « scientifique ».
Dans cette démarche, on étudie l’humain en tant que phénomène physique c’est à dire en tant qu’être matériel. Comme on étudie tout phénomène physique dans l’univers. Dans ce contexte, la psychologie se définit, comme l’étude de ce qui, dans la conduite de l’individu est paramétrable et quantifiable.
Ces paramètres sont en effet exclusivement d’ordre matériel. C’est à dire physico-chimiques. Les techniques, statistiques et mathématiques sont abondamment utilisées.
10 étapes pour réaliser vos projets.
L’autre théorie considère l’humain, non comme un objet matériel mais comme un sujet doué de conscience. Que l’on ne peut réduire aux seuls paramètres biophysiques de la vie. De ce sujet émerge, l’émotion, la pensée, qui jouent un rôle déterminant dans l’attitude individuelle et collective de l’être humain.
La seule méthode pour étudier la personne en tant que sujet, est celle dite « introspective ».
Socrate l’avait très bien résumé, dans sa citation : « Connais-toi toi-même ». Car seul, ce quelqu’un, ce sujet lui-même, peut connaître ce qu’il est, ce qu’il pense, ce qu’il éprouve. Aujourd’hui encore, aucune démarche scientifique ne permet de connaître le ressenti ou la pensée d’un autre. (Pour notre plus grand bonheur d’ailleurs !)
Cette technique introspective n’est malheureusement toujours pas utilisée en université. La recherche universitaire actuelle laisse de côté, le plus important pour nous comprendre. L’analyse approfondie de la pensée et de l’émotion, de leur origine, de leur nature et de leur valeur.
Ce que nous livre l’approche universitaire.
En faculté de médecine.
On apprend à déterminer les facteurs biologiques et organiques (physiologiques, biochimiques, neurologiques, génétiques…) du corps. Et ce, pour comprendre et diagnostiquer les perturbations de la conduite de quelqu’un.
Il s’agit, en particulier, de disciplines comme la psychiatrie ou la neurologie. Ce sont des spécialités de l’étude et du traitement physique et de l’effet des perturbations du système nerveux et du cerveau.
Le cerveau est alors considéré comme la structure biophysique et biochimique responsable des attitudes comportementales.
Certains des dysfonctionnements du cerveau sont matériellement identifiables : lésions du cerveau, tumeur, déséquilibre biochimique. La médecine contemporaine à les moyens matériels de soigner ces troubles. Par la neurochirurgie, la biochimie et la chimiothérapie.
Il existe donc une approche proprement et strictement médicale des comportements humains. L’approche psychiatrique et neurologique dont la base est biochimique et physico-chimique. Ce sont les thérapeutiques pharmaceutiques et chirurgicales.
En faculté de psychologie.
Les études ne portent plus comme en médecine sur les facteurs biophysiques (neurologiques, biochimiques, et génétiques). Mais sur la détermination de toute une série de facteurs. Ce sont également des éléments d’ordre matériel et quantifiables mais non médicaux. Ces facteurs peuvent être aussi impliqués dans l’apparition des troubles organiques qui engendrent des dérèglements et des anormalités comportementales.
L’étude de ces facteurs matériels, non médicaux, a donné naissance à plusieurs sous-disciplines. Ce sont ces sous-disciplines que l’on enseigne actuellement en faculté.
Néanmoins, ces sous-disciplines reposent sur les sciences de la matière (la chimie, les mathématiques, la physique, les statistiques et la biologie). Sciences, elles aussi, enseignées en faculté puisqu’elles en constituent les sciences de référence. La boucle est bouclée…
Les principales sous-disciplines de la psychologie universitaire.
Les principales sous-disciplines de la psycho universitaire, en dehors de la chimie, de la biologie, des mathématiques et de la physique, sont :
La psychologie dite « expérimentale ».
Elle étudie en laboratoire, avec des expériences sur les animaux. Sont étudiés les divers paramètres physiques, chimiques, physiologiques, sociologiques observé dans des processus complexes. Comme la sensation, la perception, la mémoire, l’apprentissage, etc. …
On mesure les temps de réaction à certains stimuli. Par exemple visuels, auditifs. Ou bien encore la densité des points sensibles à la surface de la peau.
La psychologie que l’on appelle développementale ou psychogénétique, ou encore épistémologique.
Elle concerne essentiellement le développement de l’enfant. Le développement de l’intelligence, l’étude de l’acquisition de la lecture, du calcul etc… Par exemple, on mesure le temps de calcul de 3 + 5 = 8, en fonction de l’âge, de l’origine sociale et culturelle des enfants …
On peut mesurer le pourcentage d’enfants utilisant des phrases de deux, trois ou quatre mots en fonction de leur âge. (« Lola miammiam ! » Exemple de phrase prononcée par un enfant, entre 16 et 24 mois, qui associerait son prénom au verbe manger.)
HPC2 : la formation professionnelle de coach holistique.
La psychologie sociale.
Elle étudie la relation des personnes entre elles. C’est à dire les influences réciproques de personnes qui sont en présence ou qui agissent ensemble. Les outils d’étude sont principalement des enquêtes par questionnaires dont les résultats sont traités par statistiques.
On analyse, les relations à autrui, la motivation, la confiance, la raison, etc… Ce travail statistique livre savoir et réflexion et révèle les interactions dans la vie courante entre la personne et le groupe social. C’est le socle des algorithmes contemporain.
La psychologie clinique.
Discipline au carrefour de plusieurs domaines (la psychiatrie et psychopathologie, la psychanalyse et psychothérapie, le conseil et la recherche clinique). Enseignée à l’université à dominante théorique, elle ne comporte pas de formation de mise en pratique pour devenir psychothérapeute. Les étudiants doivent donc suivre hors de l’université, des formations complémentaires. Ainsi, ils peuvent s’initier et apprendre des pratiques thérapeutiques.
On dénombre actuellement environ 700 formes de psychothérapies en Occident.
(Selon les livres dont le Dr Richard Meyer est l’auteur, psychiatre et psychanalyste, et fondateur de l’EEPSSA.)
On peut citer la PNL, le Rebirth, la Sophrologie, la Bio Energie, l’Analyse transactionnelle, le Rêve éveillé, et l’EMDR et l’EFT….
Pendant des décennies, la psychothérapie dominante dans l’université française, et encouragée par elle, était la psychanalyse Freudienne. Bien qu’elle continue d’être enseignée dans les universités françaises, elle n’est plus un passage obligé pour les futurs psychologues.
La connaissance de soi et l’approche universitaire.
En résumé, ce qui caractérise l’approche universitaire actuelle de la psychologie est l’étude physiologique et statistique comportementale. Elle consiste à isoler puis quantifier les paramètres mesurables qui interviennent dans la conduite d’un individu.
Ces paramètres sont d’ordre exclusivement matériel. (Composition et réaction physico chimique dans le vivant, corrélation statistique au sein d’une population ou d’un échantillon d’une population.)
Toute cette approche physique, biochimique, et statistique de la psycho est évidemment intéressante, nécessaire et fort bien enseignée en université.
Connaissance de soi : les 6 besoins humains.
La non prise en compte de l’immense champ de questionnements, d’investigations, de recherches sur la psyché humaine pose question. Cette méthodologie physiologique et statistique ne pourra jamais atteindre les motivations, et la conduite, de la psyché et des pensées humaines. Méthodologie qui la laisse délibérément et intentionnellement de côté. Pourquoi ?
Ce champ d’études et de recherches est traité par une autre discipline de savoir rationnel. Elle utilise d’autres moyens que les mesures des quantités matérielles, qui constitue la seconde grande approche d’ordre psychologique. Celle dans laquelle nous nous inscrivons : Jungienne et transpersonnelle.
Cette discipline comprend clairement la dimension spirituelle de l’humain. Par sa dimension holistique, cette nature psychologique est absente des enseignements universitaires actuels, encore une fois, pourquoi ?
L’approche philosophique de l’âme.
A la rencontre de soi. Retraite méditative à Bali.
Voyons à présent, pour avoir une vision globale de l’étude de l’homme, l’approche philosophique de l’âme.
Le comportement humain ne se posent plus ici en termes de physique ou de statistiques. Mais en termes d’éthique et de métaphysique. Il pose délibérément et intentionnellement les problèmes existentiels et de la conscience. Et aussi, de la liberté, du bien, du mal, de la destinée, du sens de l’existence, du rapport à la souffrance, à la mort, à l’autre, à l’amour, à l’inconnu, à Dieu….
La conduite de l’humain est incontestablement influencée par des facteurs d’ordre matériel liés aux conditions du milieu (interne et externe). La considération de ces seuls facteurs est loin de pouvoir rendre compte du phénomène humain dans sa totalité.
C’est pourquoi, il est indispensable de considérer l’influence de facteurs d’un tout autre ordre. Facteurs qui ne sont ni physico chimique, ni statistique, mais bien d’ordre éthique (valeurs morales). La question morale est en effet au carrefour de toutes les attitudes humaines.
Que dois-je faire ?
Pourquoi pas faire votre auto-analyse et votre point de vie complet? (C’est gratuit).
Que dois-je faire ? Qu’est ce qui est bien ? Qu’est ce qui est mal ?
La réponse à ces questions est intérieure. Le choix éthique n’est pas une réaction chimique. Un acte déterminant du sujet, irréductible à tout autre facteur. Donc, c’est bien cet acte du choix qui détermine les comportements et la conduite (heureuse ou malheureuse de l’être humain).
Le problème de l’éthique (la question du bien et du mal), est un questionnement rationnel incontournable. Il s’impose de façon naturelle à notre intelligence.
Exclure de l’étude de la conduite de la personne, les problèmes d’éthique (comme actuellement en université), restreint la compréhension des fonctionnements physiologiques. L’étude des questions morales, et de leur résolution, est une partie essentielle de la psycho comme science comportementale.
Exclure de la psychologie l’étude de ces questions c’est s’interdire la compréhension des facteurs, les plus déterminants de l’être humain.
Mais la psycho en tant que science générale de l’âme ne pose pas uniquement des questions relatives à la conduite, aux attitudes, à l’action. Elle pose également des questions plus fondamentales. Des questions de nature non plus éthique ou morale, mais de nature ontologique et métaphysique.
En tant que science de l’âme, elle se doit de s’interroger sur la nature de l’âme :
- Quelle est son essence ? Matérielle ? Congloméra hasardeux de protons, neutrons, et d’électrons ? Immatérielle ? Spirituelle ?
- D’où vient-elle ? Quelle est son origine ? Quelle est sa structure ? A-t-elle une finalité ?
- Plus largement, toutes ces psychés humaines ou animales ont-elles une finalité?
- Et ces univers dans lesquels sont immergés tous ces êtres, ont-ils eux aussi une finalité ?
- Quelle en est leur origine ? Ultimement, Dieu existe-t-il ou le monde s’est-il créé tout seul ? Comment le savoir ?
La réponse à ces questions a une incidence sur l’âme, elle est donc psychologique. Par conséquent, la psychologie pose des problèmes qui sont fondamentalement d’ordre philosophique. Ces aspects essentiels psychologiques ne sont plus traités à l’université (comme cela était le cas autrefois). C’est pourquoi il est nécessaire d’inventer des structures d’enseignement alternatif et complémentaire pour les étudier.
C’est un des objectifs des formations de Soul in a Mind, de répondre aux questions philosophiques posées par la psychologie.
En résumé.
Il existe deux grandes méthodes pour étudier l’homme.
L’étude de l’homme en tant qu’objet matériel (que l’on peut mesurer, peser comparer …)
C’est ce qu’on enseigne à l’université. Elle permet de déterminer divers paramètres physiques, biochimiques et statistiques qui interviennent chez l’humain. Mais cette méthode ne permet pas de comprendre et d’expliquer la vie, les processus proprement internes du sujet humain, à titre personnel.
Ni de comprendre l’émotion, la pensée, les sentiments, qui sont pourtant les principaux déterminants de la conduite de l’humain dans la vie. L’étude de ces facteurs requiert une toute autre approche : introspective.
L’étude de l’homme en tant que sujet par la méthode introspective. C’est la seule manière d’étudier l’émotion, la pensée et les sentiments, la conscience qui déterminent les aspects comportementaux chez les humains.
L’émotion, la pensée et les sentiments, la conscience, appartiennent à la pure intériorité de l’humain. Ils ne sont accessibles qu’à lui-même. Et ils ne sont ni matériels, ni mathématisables, ni paramétrables, seulement personnel. Ils sont par conséquent hors du champ d’investigation des études physiques. Ils relèvent d’études métaphysiques.
L’analyse introspective s’inscrit dans une étude élargie de l’humain, qui inclut son étude physique, mais qui ne s’y limite pas.
Cette étude rationnelle et holistique de l’humain, s’inscrit dans le cadre général de ce que l’on appelle la philosophie.
Conclusion : la connaissance de soi est une nécessité éducative.
La voie des Soulminders : une remise en question de nos systèmes existentiels.
Points Clés à Retenir :
- Approches pour la Connaissance de Soi.
- Approche scientifique. Étude de l’humain comme un objet matériel, en utilisant des techniques statistiques et mathématiques.
- Approche introspective. Exploration intérieure de la conscience, des émotions et des pensées, échappant aux méthodes purement scientifiques.
- Enseignement Universitaire Actuel.
- Faculté de médecine. Se concentre sur les aspects biologiques et chimiques des comportements avec des disciplines comme la psychiatrie et la neurologie.
- Faculté de psychologie. Se focalise sur des paramètres matériels et quantifiables. Cela inclue des sous-disciplines comme la psychologie expérimentale, développementale, sociale et clinique.
- Lacunes dans l’analyse introspective.
- Les universités négligent l’analyse introspective des valeurs, de la conscience et des attitudes comportementales. Cela limite la compréhension globale de l’humain.
- Importance de la Philosophie.
- La philosophie et la psychologie offrent des outils précieux pour l’exploration intérieure. Avant tout, elles posent des questions existentielles sur l’âme, la liberté, le bien et le mal.
- Appel à une Éducation Complète.
- Intégration nécessaire de l’introspection et de l’étude de l’âme dans les cursus universitaires. Et ce, pour une compréhension holistique de l’individu.
Laissez un commentaire et partagez vos réflexions. Par exemple, identifiez une personne qui pourrait bénéficier de cette lecture avec gratitude! Ensemble, renforçons la conscience de soi et les valeurs personnelles pour un épanouissement complet.
#conscience #développement #vie #personnel #valeurs #émotions #identité #bonheur #actions #psychologue #relations #corps #outils #confiance #forces #compétences #capacité #personnalité #niveau #informations #communication #intérieur
Prêt à prendre une initiative et rejoindre notre communauté ? Inscrivez-vous pour recevoir plus d’articles et d’infos de Mika et Soul in a Mind.
Thierry Blancheton
Je suis devenu Soulminder le jour de ma première rencontre avec Mika à Bali en 2013. Depuis, je continue de cheminer, d’apprendre et de jouer consciemment mon rôle d’accompagnateur. Ma vie est riche d’expériences et mes compétences ressemblent à un couteau suisse.
J’aime à rappeler le proverbe chinois :
« La connaissance, c’est d’avoir la bonne réponse. L’intelligence, c’est d’avoir la bonne question. »